Je m’appelle Jean, et en tant que médecin, je fus affecté dans un centre médical d’incorporation militaire. Etant gay, je me réjouissais à l’avance d’inspecter des mecs à poil et de les tripoter. Assez curieusement, mes débuts ne m’apportèrent pas de grandes satisfactions. Des mecs au physique peu attractifs, et quant aux mieux bâtis, j’étais saisi d’une sorte de timidité. Je tripotais, mais sans trop insister.
Un jour, dans la cour de la caserne, je vis un groupe d’une dizaine de nouveaux arrivants, en petite tenue, tee-shirt et short, se diriger vers la salle de douches collectives. Ils étaient guidés par un petit mec, chemise et short kaki, bras et jambes poilues, et petit cul bien rebondi et moulé dans son short. Il m’excita immédiatement, et l’idée me vint d’en faire un « complice » de mes visites.
J’attendis que la petite troupe soit rentrée, puis je m’approchai lentement. De l’entrée, je vis les jeunes mecs à poil se savonner sous leur douche. Et, dans un recoin, abrité par un muret pour ne pas être éclaboussé, leur guide. Il matait bien les mecs à poil, en se passant la langue sur les lèvres, et en branlant sa bite sortie par la braguette. Je toussai légèrement. Surpris, je le vis devenir tout rouge et refermer sa braguette. Je m’approchai de lui, et, sans oublier de lui passer légèrement la main aux fesses, je lui dis :
« On en parle à la pause après le déjeuner ? » Il acquiesça avec un sourire coquin.
A la pause, ce fût lui qui s’approcha de moi.
« Salut, je m’appelle Jean et suis le toubib qui fait passer les visites d’incorporation. J’ai vu que tu aimais bien mater les mecs à poil. Si ça t’intéresse, je peux te faire nommer mon assistant et t’auras l’occasion de voir les mecs de plus près, et en détails … »
« Je suis Michel et suis très excité à cette idée »
« OK, mais il me faut la preuve que tu es vraiment pédé. Suis-moi »
Et je le guidai vers la salle de douches, déserte à cette heure-là. Dès que je défis la braguette de son short, je le sentis bander. Je baissais d’un coup short et slip aux genoux, et commençai à lui branler doucement la bite qui devint très vite rigide. Je le fis alors se retourner, et se pencher en avant. Je m’agenouillais derrière lui, et écartant ses fesses poilues, je découvris sa rosette. J’y introduisis un doigt mouillé de salive. Ca rentrait comme dans du beurre. Je le fis se relever et se rhabiller.
« Dis donc, Michel, je ne suis pas le premier à m’introduire dans ton petit trou du cul »
Il rigola et m’expliqua
« Tu sais je suis de la campagne. Et les filles de la campagne veulent toutes aller à la ville. Et il y a plein de mecs de 30 à 40 ans célibataires. Ca a commencé, l’an dernier, avec un, que je regardais pisser contre un arbre. A la fin, il m’a fait signe d’approcher, a pris ma main, l’a posée sur sa queue et m’a demandé de le branler. J’étais très excité. Lui, pendant ce temps, me baissait pantalon et slip, et je sentais sa main caresser mes fesses, et glisser dans la raie de mon cul. Après il m’a fait mettre à quatre pattes, et s’est accroupi pour me lécher la raie puis l’anus. Il écartait mes fesses, avec ses mains et cherchait à rentrer sa langue. J’étais tellement excité que j’ai joui sans me toucher. Il m’a proposé de recommencer et j’étais bien sûr d’accord. »
« Mais la seconde fois, il a voulu m’enculer, et là j’étais moins enthousiaste car ça faisait mal. Mais avec de la patience, il m’habitua et au bout d’un mois, j’y prenais du plaisir. Il me présenta alors à ses copains. Trois d’entre eux étaient des enculeurs, mais le dernier, le plus « macho » de tous, ne cherchait qu’à se faire baiser. J’y prenais d’autant plus de plaisir qu’il avait été bien « élargi » par ses potes. Mais j’allais avoir vingt ans, et je voulais bouger un peu et suis parti rejoindre l’armée. Tu sais tout de mon histoire. »
« Bon, je vais aller voir le commandant. Rendez vous demain matin à 8h à la salle où je fais passer mes visites »
J’étais assez confiant en allant voir le commandant. La quarantaine, et très sportif. Très souvent au gymnase pour s’entrainer, n’hésitant pas à aider les autres soldats, avec des mains un peu baladeuses. Et, un jour, il invita un autre soldat à un combat de judo. Il l’immobilisa très vite à plat ventre en dessous de lui, et je vis, au mouvement de ses fesses qu’il frottait sa bite contre la raie du cul du soldat. Quand il se releva, nos regards se croisèrent par hasard et nous échangeâmes un léger sourire. Il avait compris que j’avais deviné son petit manège. Bien sûr, en tant que commandant, il se devait à une grande réserve et n’avait jamais de « gestes déplacés ». Mais aller lui demander un second, pour que deux mecs habillés en examinent un troisième à poil était une idée qui ne devait pas lui déplaire. Et, effectivement, j’eus immédiatement son accord.
Le soir venu, j’allai dans ma salle de visites. Il y avait mon bureau, au milieu, et dans un coin de la salle, un bureau plus petit que je plaçais perpendiculairement au mien, les deux bureaux formant un « L ». A 1,50 m du petit bureau, je dessinai au sol la marque de deux pieds, écartés d’environ 1m. Tout était fin prêt.
Le lendemain matin, je fis mes recommandations de prudence à Michel. Il devrait rester assis derrière le petit bureau, noter les commentaires que je lui dicterai et se contenter de regarder. En le menant à son bureau, je ne pus résister à la tentation de lui passer la main aux fesses. Il se retourna en souriant, passa derrière moi, et me rendit la pareille, mais en appuyant fortement avec le côté de sa main le long de ma raie des fesses. La matinée commençait bien.
Notre premier « client » était d’un physique banal. Je le fis mettre en slip, se peser et passer sous la toise. Puis, en lui demandant d’ôter son slip, je lui demandai d’approcher et commençai le côté ennuyeux de l’examen : bouche, oreilles, gorges, ganglions sous les bras.. Arriva enfin la partie intéressante. Je le plaçais face à Michel et lui tâtai ( pelotai serait plus exact ) les testicules. Michel regardait avidement, d’autant plus que, sous l’effet de mes attouchements, la verge commençait à gonfler.
Je le fis alors se retourner, dos ( et cul !) face à Michel. Je palpai ses vertèbres une à une. Puis je lui dis qu’on allait tester sa souplesse. Je lui fis mettre ses pieds dans les endroits marqués sur le sol, jambes bien écartées, donc. Et je lui demandai de se pencher en avant. Et j’appuyais doucement sur son cou pour le faire se pencher le plus possible. Dans cette position, les muscles de ses fesses s’écartaient devant un Michel qui se léchait les lèvres en contemplant les fesses écartées et, à travers les jambes, le « service trois pièces » du soldat.
Je passai alors derrière lui sur le côté, pour écarter ses fesses avec mes mains et exposer sa rosette. Je le déclarai exempt d’hémorroïdes externes. Restait à vérifier les internes. J’enfilai un doigt de caoutchouc lubrifié, devant un Michel surexcité. En passant à côté de son bureau, je vis qu’il avait ouvert sa braguette et se masturbait gentiment, caché par le bureau. J’introduisis très doucement mon doigt, le tournai, avançai, reculai, en faisant subir un véritable doigtage, en guise de recherche d’hémorroïdes. Quand ce fut fini, le soldat alla se rhabiller, tout rouge, une main devant son sexe en érection.
Avant de faire entrer le suivant, il m’était venu une idée. Je sortis mon portable dont je désactivai le flash, et le donnai à Michel. Au début, il prit une photo type photo d’identité, puis .. lorsque le soldat fut de dos jambes et fesses écartées, il joua de l’appareil photo pour avoir des vues d’ensemble et des zooms des parties plus intimes. Nous disposions donc d’un jeu de photos avec visage et parties intimes. Ce qui pourrait se révéler utile ultérieurement.
Nous fîmes défiler six soldats dans la matinée. De physiques quelconques, et aucun ne répondant à des attouchements pourtant explicites. Au repas j’invitai le commandant à venir visiter notre installation
A suivre .. ou pas .. suivant le score obtenu