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Vive les éboueurs… – Chapitre 1

Vive les éboueurs... - Chapitre 1



Nous étions en vacances sur la Costa Dorada. Karen, mon épouse venait de découvrir les joies du monokini… En fait, sans vraiment que je ne le souhaite, je la titillais pour qu’elle ôte son bikini. Un jour que nous venions d’arriver à la plage, Karen avait été plus prompte que moi pour se coucher sur son essuie de plage. J’avais le sac avec la crème solaire et lui proposai de lui en mettre. Elle accepta naturellement vu la chaleur étouffante qui règnait en ce mois de juillet. Comme elle était couchée sur le ventre, j’écartai ses cheveux et défit le noeud du bikini qu’elle avait dans le cou et commencai à lui passer la crème sur les épaules. Arrivant à hauteur des omoplates, je défis le noeud du dos et laissai les cordons retomber sur l’essuie. J’eus soudain un petit plaisir et mis un peu d’érotisme dans mes gestes. Arrivant dans le bas du dos, je remontai complètement la culotte de son bikini et j’en fis un string parfait. Je commencai à me délecter de ses fesses blanches tandis qu’elle ne mouftait pas du fait d’être matée par les touristes qui nous entouraient et qui avaient déjà profité de la vue que je donnais du cul de ma femme. Prenant toujours tout mon temps, je m’amusi à lui répandre la crème jusqu’à lui toucher légèrement l’entrejambe. Je fus surpris d’y découvrir déjà une petite tache humide qui foncait le tissu.

Ayant fini mon ouvrage au niveau de ses fesses, je remis la culotte en place et mis la crème sur les jambes.

Ravi du tour que je venais de lui jouer, je me couchai à mon tour, persuadé qu’elle allait rapidement renouer les noeuds de son bikini. Elle me demanda si je souhaitais également qu’elle me mette de la crème; ce à quoi j’aquiescai naturellement.

Avant que je n’aie eu le temps de dire ouf, elle se releva, sans remettre son bikini et pris le tube de crème.

La poitrine à l’air, matée par les touristes qui nous entouraient à quelques mètres, elle prit à son tour un malin plaisir à prendre tout son temps pour me protéger du soleil alors que j’étais face contre le sable et que je ne pouvais même pas mater ma propre femme…

Lorsqu’elle eût terminé, elle se recoucha paisiblement sur le dos sur son essuie et ne remit pas davantage son bikini.

Voilà comment Karen est passée de ma faute ou plutôt grâce à une petite taquinerie de ma part du bikini au topless.

J’avoue que jusqu’au soir, je fus particulièrment excité d’avoir vu autant de regards masculins se délecter des jolis petits seins de ma femme et comme durant la soirée, Karen s’était baladée comme à son habitude sans soutien gorge sous un petit top moulant, mon excitation resta à son comble jusqu’au coucher…

Durant notre promenade, je dus voir les regards des promeneurs se poser invariablement sur les tétons pointant ostensiblement sous le fin tissu légèrement transparent.

Elle portait un corsaire blanc laissant entrevoir le string en dentelle blanche qu’elle portait par dessous et lorsque des hommes nous suivaient, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce qu’ils étaient en train d’imaginer en matant le cul de Karen…

Lorsque nous nous couchâmes, je crus que mon sexe allait exploser après 3 secondes d’acte sexuel.

Notre chambre était au rez-de-chaussée de notre villa, surélevé d’un petit mètre par rapport au sol. Une petite terrasse protégée par une rambarde basse prolongeait celle-ci. Sur la droite, en contrebas, se trouvait notre piscine tandis que dans le prolongement de la terrasse de trouvait un espace destiné à y mettre notre voiture. La grille nous séparait ensuite d’une route où peu de gens passait durant la nuit.

Nous étions donc à 7 ou 8 mètres de la rue. Les piétons passant ne pouvaient nous voir du fait de la terasse surélevée et de la petite rambarde qui nous cachait légèrement.

Notre porte-fenêtre était donc grande ouverte, de même que tentures afin de laisser passerle léger vent nocturne qui nous faisait le plus grand bien.

Revenant à mon excitation et après lui avoir sommairement peloter les seins par dessus le fin tissu, j’eus tôt fait de lui ôter son top tandis que son corsaire suivit le même chemin… Je lui arrachai le string plus que je ne le lui enlevai et l’embrassai.

Mes mains lui empoignaient déjà les seins et mes doigts lui pressaient délicatement les mamelons. Je glissai ma main à son entrejambe déjà complètement mouillé par l’envie qui la pressait également. Je glissai deux doigts dans son vagin et fus surpris de la facilité avec laquelle j’avais pu les enfoncer tous deux dans sa cavité humide. Je lui embrassai les seins, lui mordillai les bouts puis continuai à l’inonder de bisous tout en glissant avec ma langue de sa poitrine jusqu’à sa touffe.

Tandis qu’elle cambrait déjà ses reins, je passai délicatement la langue sur son clitoris, l’entendis jouir à pleines voix puis opérai un cunnilingus plus intense qui l’emmena déjà rapidement vers un premier orgasme.

Avant d’aller tout au bout de sa jouissance, elle me prit la tête pour me la soulever et me repoussa sur les draps. Elle repassa au-dessus de moi et en deux mouvements rapides me permis de m’enfoncer rageusement en elle…

Elle se releva et je voyais son cou relevé et sa lèvre supérieure mordiller doucement sa lèvre inférieure. La lumière des réverbères et de la lune inondait son corps. Je voyais ses seins cambrés et ses bouts dressés par l’excitation.

Elle avait ses yeux clos et je me surpris à mater encore son corps ruisselant légèrement de transpiration.

Mon regard sur ses seins gonflés et ses bouts dressés renforcaient à nouveau mon excitation tandis que j’entendis au loin le camion des éboueurs qui arrivait dans notre rue comme chaque soir vers minuit. Bien qu’en pleine jouissance, je pensais que Carine, consciente de leur venue imminente allait se recoucher sur moi pour se dissimuler des regards.

Au lieu de se recoucher sur moi, elle se cambra au contraire encore davantage, le corps même légèrement en arrière et les poignets en arrière, un peu comme Sharon Stone dans la fameuse scène qui fit sa gloire. Elle me prit les mains et m’invita à lui caresser la poitrine tant tandis qu’elle se caressait elle-même les bouts des seins.

Ce qui devait arriver arriva et le camion des éboueurs s’immobilisa juste devant notre terrasse. La lampe orange du gyrophare achevait d’éclairer notre chambre comme dans un film…

Si nous étions à l’abri des regards des piétons, il est évident que le chauffeur du camion, du siège où il était perché surplombait notre chambre. Karen se doutant sans doute qu’elle allait être matée, devait y trouver un motif supplémentaire d’excitation car elle haletait maintenant comme jamais je ne l’avais entendu le faire.

Ses mouvements en va et vient sauvages, mes mains qu’elle pressait sur ses seins, ses bouts dressés et ses cris de jouissance ne pouvaient échapper au chauffeur.

Je relevai la nuque pour voir ce qui se passait au dehors et je vis évidemment le chauffeur qui ne perdait rien de la scène torride qu’offrait ma femme. Le camion resta évidemment devant notre chambre et je vis les autres éboueurs, sûrement rappelés par le chauffeur escalader les marche pieds et mater tranquillement la scène.

Karen prit son pied durant de longues minutes, s’usant le clitoris sur mon pénis endolori et s’abandonna dans un cri final où elle se recoucha sur moi.

Nous entendîmes alors les rires des éboueurs au dehors et quelques applaudissements étouffés par le moteur qui redémarrait.

Après quelques secondes dont elle eut besoin pour se remettre de son orgasme, elle releva tristement la tête et s’excusa en me disant qu’elle ne savait pas ce qui lui avait pris.

Je la rassurai en lui disant que c’était également l’orgasme de ma vie et que les éboueurs ne se plaindraient sûrement pas de leur travail de cette nuit là…

Et de fait, chaque nuit, ils passèrent en donnant un petit coup de klaxon et si Karen, remis de son érotisme torride, demanda que nous tirions les tentures les nuits suivantes, je remarquai qu’elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour attendre les environs de minuit pour faire l’amour et elle prit souvent son orgasme alors que le gyrophare inondait la terrasse et les tentures tirées…

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