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Vive les transport en commun – Chapitre 1

Vive les transport en commun - Chapitre 1



La joie des transports en commun !! Me voilà encore coincé dans ce fichu train de banlieue plein à craquer ! J’en ai au moins pour trois quarts dheure à être serré. Les gens entrent, se poussent, se glissent vers le couloir lui aussi bondé. Je n’ai même pas besoin de me tenir pour rester debout. Ça pousse encore !

Et lui qui se colle vraiment. Les mouvements du train me font me frotter contre sa hanche. Il se tourne un peu, me tournant le dos. Je suis contre ses fesses maintenant. On se frotte encore. Doucement, je me mets à bander. Je ne peux rien faire contre cette érection, sauf tenter de me reculer un peu pour diminuer la pression contre lui. Mais rien n’y fait ! Je bande de plus en plus. Je me rends compte alors qu’il se colle à moi, gardant ainsi le contact. Il me semble même qu’il ondule du bassin. Comme à mon habitude, je porte une culotte en dentelle sous mon pantalon. Ma queue maintenant bien dure est dressée contre mon ventre, le long de mes boutons de braguette. Je suis parvenu à la mettre ainsi au moment d’un arrêt du train. Mon voisin se régale en se frottant contre moi. Pour ma part, je le laisse faire. C’est assez agréable finalement. Nouvel arrêt ! Il en profite pour se tourner. Nous voilà presque face à face. Il est joli garçon. Sensiblement de mon âge, nous sommes de même corpulence.

Il semble un peu gêné mais me regarde néanmoins avec un léger sourire complice. Nouvelle caresse sur mon entrejambe, mais avec la main maintenant. Il sait y faire le bougre ! Il me malaxe la verge au travers du pantalon en me regardant dans les yeux. Je glisse ma main vers la sienne pour l’encourager. Il la guide vers son sexe que je sens bien bandé aussi. Nous nous caressons ainsi de longues minutes et je peux apprécier la vigueur de ce membre plutôt bien dimensionné. Profitant d’un nouveau mouvement autour de nous, il se plaque encore un peu plus tout en glissant ses doigts entre les boutons de ma braguette qui s’ouvre en partie. Il écarte le fin tissu et se saisit de ma bite à pleine main, il me glisse à l’oreille :

— J’adore ta queue…

De mon côté, une main le masse toujours et j’ai glissé l’autre sous sa ceinture en bas de son dos. Mes doigts sont en haut de sa raie où je devine la ficelle d’un string. Je joue à la tendre un peu pour stimuler sa rondelle. Il me regarde en écarquillant les yeux, la bouche entre-ouverte.

Il me branle doucement, glissant parfois ses doigts sur mes couilles toutes lisses. Il se passe le bout de la langue sur ses lèvres. Son regard est coquin. Je meurs d’envie de me pencher vers lui pour l’embrasser. Il accélère un peu ses caresses, faisant monter encore un peu la pression. Il va finir par me faire jouir !

— Je descends à la prochaine… me dit-il doucement à l’oreille alors que le train ralentit déjà.

Une dernière pression sur ma queue et il me lâche. Il se retourne un instant pour se coller encore contre moi. J’en profite pour reboutonner ma braguette. La porte s’ouvre, il avance dans le flot de voyageurs. J’hésite un court moment avant de me laisser pousser par la marée humaine. Il marche devant moi sans se retourner, emprunte un escalator. Le panneau indique le parking. Je suis derrière lui. On est dans une file de gens pour passer la porte s’ouvrant sur le garage. Les gens s’éparpillent pour regagner leur véhicule. J’ai les yeux rivés sur le postérieur de mon compagnon de voyage qui serpente entre les voitures avant de s’arrêter pour se retourner.

Il me sourit et se colle à moi, m’offrant sa bouche alors que ses mains replongent vers ma verge toujours bandée. Nos langues se cherchent, s’enroulent et mes mains ont défait sa ceinture avant de s’agripper à ses fesses. Il s’accroupit un instant pour me prendre en bouche et m’avale jusqu’à la garde. Ses mains palpent mes fesses, ses doigts glissent sur ma rondelle. Je fouille mes poches pour sortir une capote. Il se relève en se retournant, cambrant le dos pour m’offrir son cul. Je déroule la capote sur ma queue et j’écarte la ficelle de son string pour placer mon gland sur sa rondelle déjà humide. Il écarte les jambes, offrant ses fesses. Je le sens s’ouvrir, accueillant et chaud. Il gémit pendant que je le transperce d’une seule traite. Plaqué contre ses fesses, je reste planté au fond de son ventre, la tête dans le creux de son cou. Il se contracte sur ma colonne de chaire. Je me recule doucement avant de replonger au fond de ses entrailles. Après quelques passages lents et profonds, j’accélère la cadence, claquant mon ventre sur ses fesses.

J’attrape sa queue pour le branler. Il bande toujours et gémit de plus en plus fort. Il va finir par nous faire remarquer ! Je sens la sève monter. Quelques coups de reins encore et je me vide dans la capote en retenant mes râles de plaisir, ma queue entrée au plus profond de son ventre. Il jouit aussi, aspergeant la portière contre laquelle je viens de le précéder.

J’attends quelques instants pour reprendre mes esprits, laissant ma queue redescendre doucement. Quelques coups d’il aux alentours pour s’assurer que personne ne nous a vus. Coller contre son dos, j’en profite pour lui caresser le ventre et remonter jusqu’à sa poitrine. Ses tétons sont tendus et visiblement sensibles. Il se laisse volontiers caresser.

Il se retourne pour m’embrasser et nous nous rhabillons.

En sortant du parking, il me dit qu’il s’appelle Loïc et que la prochaine fois, c’est lui qui me prendra.

— Quand tu veux ! Tiens, voilà mon numéro lui dis-je en lui tendant une carte de visite.

Il a filé dans les couloirs de la station et j’ai repris le train.

Deux jours plus tard, dans le même train, avec autant de monde, mon téléphone vibre.

Un SMS…’’Toujours envie ?_ Toujours _ même endroit ?_ OK. T’es ou ?_ regarde à droite’’

A l’autre accès, adossé à la porte, Loïc me regarde en souriant. Le train s’arrête et on descend sur le quai. Cette fois c’est moi qui ouvre la marche. Il me suit dans le parking. Sensation extrêmement excitante que d’être suivi en sachant qu’on va se faire baiser dans quelques minutes, au fond d’un parking contre une voiture. Je sens son regard sur moi, sur mon cul.

Le scénario se reproduit mais c’est moi qui m’accroupis pour prendre sa belle queue en bouche. Je le pompe un instant tout en glissant un doigt dans sa rondelle. Ma langue s’enroule sur le gros gland turgescent. Je me redresse pour m’appuyer contre la voiture, ouvrant mes cuisses en me cambrant. Son gland glisse le long de ma raie, le guidant vers ma rondelle palpitante. Lorsqu’il s’arrête dessus, je me recule un peu, impatient de recevoir cette belle bite vigoureuse.

— Mais elle fait la gourmande, me dit Loïc à l’oreille en donnant son premier coup de reins, un rien brutal.

La corolle est passée d’un coup, ouvrant la voie à sa tige bien tendue. Elle est bien grosse, et c’est avec trois ou quatre impulsions que je suis pris à fond. Collé dans mon dos, il me planque contre son ventre en me tenant pas les hanches. Il monte sur la pointe des pieds pour mieux me prendre encore, me clouant contre la voiture. Je savoure pleinement la présence de cette verge au fond de ventre, me remplissant totalement, dilatant ma rondelle. J’adore cette sensation d’être bien rempli, empalé sur un chibre puissant et ferme, possédé par un mâle en rut, couvert par un homme dominant sa femelle qu’il va bientôt féconder. Plaqué contre mon dos, il me souffle dans le cou, grogne de plaisir à mon oreille. Son bassin ondule, faisant vivre sa queue au fond de mes reins. Ses mains remontent vers ma poitrine. Excité comme je suis, mes tétons sont durs et pointent comme des tétines. Il les attrape pour les rouler entre deux doigts visiblement satisfait de les trouver si développés et sensibles.

J’adore me travailler les mamelons, les étirer, les pincer. Devenus sensibles, ils me font grimper aux rideaux quand on s’en occupe. Et Loïc sait y faire. Il les tire en les pinçant puis empoigne mes pectoraux comme on prend les seins d’une femme avant de presser à nouveau mes tétons.

Il se recule doucement de mes fesses, la tête toujours contre la mienne, me susurrant à l’oreille ’Tu as des tétines de petite pute… tu es bonne… tu es belle salope… je vais te défoncer le cul….. je vais te saillir comme une bonne chienne…’’

D’un coup, il revient contre moi puis recule à nouveau, doucement, faisant presque ressortir son gland pour mieux replonger. Je le sens refouler mes chairs intimes, repousser ma rondelle comme les lèvres d’une chatte avant de replonger dans mes entrailles. Je me retiens à la voiture devant moi, retenant difficilement des râles de plaisirs. Ses coups de reins rapides et puissants me font presque perdre l’équilibre et il me semble que son membre grossit et durcit encore. Ma queue se balance au rythme de ses coups de boutoir. Je sens ses couilles toucher les miennes à chaque fois qu’il se colle contre moi. Il étouffe un gémissement au moment où il jouit, remplissant sa capote de sa semence. Je me répands à mon tour, maculant mes chaussures et le sol. En sueur, les jambes chancelantes, j’attends que Loïc se retire. Il me tient par la taille tout en me caressant le ventre. J’entends sa respiration se calmer. Sa verge perd doucement de la vigueur mais reste ferme.

Je reprends doucement conscience de l’endroit où nous sommes. Des bruits de voix et de pas nous parviennent mais restent éloignés. Je me retourne. Il me sourit. Je l’embrasse.

Je lui dis à l’oreille :

— Tu baises comme un dieu !

— Tu te défends plutôt bien aussi…

Il glisse sa main sur mon torse et cherche un téton. Il le pince doucement, me faisant inspirer de plaisir.

— On se voit quand ? Demande-t-il, j’aime trop tes tétines

— Quand tu veux…

Il m’ouvre la chemise, découvrant ma poitrine. Attrapant mes deux tétons pour les tourner légèrement, il sourit en regardant ma queue reprendre de la vigueur.

— Tu es une vraie salope et j’aime ça ! Je t’appelle demain.

Je lui ai dit que je m’appelais Luc et on s’est séparé sur le quai de la gare, les yeux encore pleins de plaisirs inavouables.

Une fois rentré, je me suis douché, lavé et rasé partout. Après avoir enfilé ma nuisette et chaussé mes mules à talon aiguille, je me suis préparé à manger.

Loïc serait-il content de me trouver ainsi ? Ses mots crus me résonnent encore dans la tête…’Tu as des tétines de petite pute… tu es bonne… tu es belle salope… je vais te défoncer le cul….. je vais te saillir comme une bonne chienne…’’ A-t-il vu la femelle qui sommeille en moi ? Celle qui émerge tous les soirs quand Luc rentre du travail… Il a ajouté ’Tu es une vraie salope et j’aime ça !’’ Et voilà, je me remets à bander ! Et mes tétons qui me démangent ! Je file à la salle de bain pour récupérer mes pompes à tétons. Une à deux heures par jour avec ça depuis quelque temps m’ont fait des beaux tétons bien sensibles.

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