Je suis cocu, et j’ai toujours voulu l’être.
Pour savoir comment j’y suis arrivé, lisez la suite.
Pour commencer je me prénomme Damien, j’ai 29 ans je mesure 1m73 et fais aux alentours des 70kg, je suis brun, blanc de peau, vite fait sportif et pour couper court à ce que beaucoup de personnes pensent des cocus, mon sexe à une taille tout à fait normal. Je suis fiancé à une ravissante jeune femme d’un an ma cadette, Jessica, brune (mais se fait régulièrement des couleurs, au moment du premier cocufiage elle était blonde) les yeux gris-vert, 1m68 pour 53 kg pas très sportive, elle préfère surtout lire ou peindre, a une magnifique et délicieuse petite poitrine ( 85B ) et des petites fesses bien ferme dont la taille oscille entre le 36 et le 38 en fonction des saisons.
Nous vivons ensemble depuis maintenant 6 ans et malgré le fait que l’on se soit établie ensemble relativement jeune notre couple est fort et j’en suis certain durera dans le temps. Comme tout couple solide, nous discutons de tout entre nous et notamment nos fantasmes.
Un soir, lors d’une sortie au restaurant, entre le plat et le dessert, Jessica est partie au toilette pour un petit besoin, et je ne pouvais faire autrement que regarder ma belle s’éloigner de la table en observant avec désirs ses belles fesses moulées à souhait dans sa petite combinaison noire. On y voyait a peine la trace de son petit shorty en dentelle, seul un il aguerri pouvait le distinguer. Aussitôt rentrée dans les toilettes, je cherchais un endroit où poser mon regard en attendant son retour, quelle ne fut pas ma stupéfaction lorsque je surpris le serveur à mater ma femme. Nos regards se sont croisés, lui a détourné le sien, gêné et un peu honteux, moi fier et empli d’une idée nouvelle.
Comment aurai-je réagi si il l’avait suivi ? L’aurai-je laissé faire ? Aurai-je aimé ça ?
Ces questions me travaillaient et c’est à ce moment là j’ai voulu que ma femme couche avec un autre homme. En tout cas cela a été l’élément déclencheur, car j’ai toujours apprécié les hommes se retournant sur ma femme dans la rue, au shopping ou sur la plage, elle est belle, elle attire je l’aime et j’en suis fier. Je sais qu’elle est à moi, je sais que je lui appartiens mais l’idée de la savoir avec un autre homme germait en moi.
Jessica revenue de sa petite envie, on continua le repas avec le dessert et le digestif, puis dans la discussion, je lui ai dis que le serveur l’avait regardé et essentiellement ses fesses, on en a ri un peu et avons trouvé ça mignon. De but en blanc je lui ai dis que j’apprécierai la savoir avec un autre le temps d’un moment intime.
Blanc.
Elle m’a fixée de longues secondes, surement une minute ou deux.
— Sérieusement ? C’est quelque chose qui te ferait plaisir ?
La discussion a changée de ton, la plaisanterie n’était plus de mise.
— Oui, je ne sais pas si ça plairait mais j’y pense de temps en temps, et là tout à l’heure avec le serveur qui t’a maté j’y ai songé vraiment. Maintenant si c’est quelque chose que tu ne veux pas, oublies et on passe à autre chose.
-On verra, t’inquiètes pas, je le prend bien quoi qu’un peu surprise.
Elle a ris en disant cette dernière phrase.
Le moment de payer l’addition arrive et je me lève pour aller payer au comptoir, Jessica m’en empêche et fais signe au serveur de nous amener l’addition. J’ai toujours pensé qu’elle avait fait ceci pour se venger de moi en quelque sorte, ou me provoquer je ne saurai dire. Mais peu importe, le jeune homme approche avec la note et me la tend, Jessica l’attrape au vol et lui dis, yeux dans les yeux:
— Ce soir c’est moi qui régale ! D’ailleurs je vais vous laisser un petit pourboire car votre service était irréprochable.
Sans le lâcher du regard, elle me demanda ma carte bleue, et se leva et se dirigea vers le comptoir pour payer. Moi, abasourdi par cette réaction, le serveur aussi visiblement puisqu’il a mis quelques secondes à la suivre à travers les tables du restaurant. je les regardais s’éloigner vers le comptoir et n’en perdais pas une miette, je savais qu’elle agissait de manière si cash avec le serveur pour me provoquer, mais je ne savais pas en revanche si c’était une bonne ou mauvaise chose. Je la voyais donc payer l’addition et discuter avec le jeune homme visiblement un peu timide et gêné de par ses gesticulations. Au moment de partir elle lui dit un dernier mot et pose sa main sur son avant bras. J’ai jamais su ce qu’elle lui a dit mais cela à eu un effet plus que certain, elle s’est retournée pour me rejoindre, le serveur bouche-bé, puis nous sommes partis.
— Qu’est ce que tu lui as dis avant de partir ? Il était pas bien à première vue.
— Ça ne te regarde pas, tu veux me savoir avec un autre homme, soit, mais le moment venu, si moment il y a, tu ne sauras rien. J’ai bien entendu ce que tu as dis, tu veux me savoir avec, pas me voir, maintenant conduis, rentrons vite, j’ai envie de toi.
Nous sommes rentrés, nous avons fait l’amour, et nous nous sommes endormis. On a plus jamais parlés de cette soirée.
Des mois plus tard, je suis au boulot, et sur le coup des 13h je reçois un coup de fil de ma femme.
— Allô ?
— Bonjour chérie, je venez prendre des nouvelles tu es partis tôt ce matin je me suis même pas réveillée car je t’ai pas entendu te lever.
— Oui tu dormais tranquillement, je suis partis sans bruit.
— Comment se passe ton jour de repos ? Tu dessines tranquillement ?
— Non, je m’occupe mais pas tranquillement.
Elle m’a dit ça, un peu essoufflée.
— Tu as un problème ? Tu as fait les courses ou tu fais des petits aménagement ? Tu changes les meubles de places ?
Je m’inquiétais car elle évite de faire des efforts physiques seule car elle a petit mal de dos qui traîne depuis quelques temps.
— Un peu des trois en fait.
Toujours essoufflée.
— Tu veux que je rentre ? Si tu as un problème dis le moi j’appelle les pompiers.
-Non ça va aller. En fait je suis allée chercher de quoi manger et boire un verre, et un peu de café, j’ai aussi bouger le canapé, et là effectivement je change le meuble à chaussures de places.
— Attends moi, je le ferai ce soir, ne forces pas.
— A vrai dire c’est pas moi qui force là, je suis à quatre pattes, contre le meuble, je me fais prendre activement, et le meuble bouge tout seul.
— …………
— Damien, mon homme ? Parles moi.
— …………
— Tu es là ?
— Oui …. j’écoutais, tu es vraiment en train de faire l’amour avec un autre homme ?
— Oui tu l’a voulu, tu l’as.
En effet, pendant mon blocage de quelques secondes j’épiais le moindre bruit suspect, et effectivement on entendait le bruit des assauts de l’homme tapant sur les hanches de ma femme, on entendait sa respiration saccadée, et de petit gémissement.
— Je … je pensais pas que tu le ferais un jour, je ne sais p
Elle me coupa net.
— Chéri je t’aime, mais je vais raccrocher, je t’ai mise au courant comme tu le voulais, maintenant j’ai du mal à tenir le téléphone et me tenir. A tout à l’heure.
Clic.
Je bandais. J’ai joui. Sans même me toucher, en quelques secondes, j’ai joui, comme ça dans mon pantalon, et je suis resté bloqué une bonne heure devant mon bureau. Un légume.
Je ne savais pas quoi faire ou même dire, comment réagir. Ma femme, est en train de réaliser un de mes fantasmes, j’ai joui certes, une quantité phénoménal de sperme dans mon pantalon qui commence à coller et à rendre tout mouvement malaisant, mais je ne peux pas rester ici à rien faire, un autre homme fait l’amour, baise ma femme. Ce sentiment de la perdre, d’être seul, impuissant loin d’elle m’envahit, et je pleure.
Je décide de l’appeler
— Oui chéri ?
— Il est parti ?
— Nous buvons un café et il s’en va.
Il est encore là, et il discute tranquillement avec elle. Je rage.
— Je rentre, à de suite.
— Non ! Tu l’as voulu, tu assumes jusqu’au bout, je veux pas te voir jusque ton retour normal.
— Chérie, je sais pas quoi faire, peut être que c’était une erreur, je n’aurais jamais dû te demander ça.
— Tu as aimé ? Franchement !
— Je sais pas.
— Tu as pris du plaisir ?
— Au début, oui. Quand tu as raccrochée, j’ai éjaculé oui mais après…
— Moi j’ai pris du plaisir, alors tout va bien mon chéri. A ce soir. Je t’aime.
Clic.