Pour une fois,c?est pas un texte 100 % ’Pervers Pépère’,
mais un texte méchamment adapté par :
Hé les mecs,
J?espère que vous avez lu les histoires précédentes, hein…
Sinon vous allez rien comprendre…
Vous me direz, que c?est pas çà qui vous empèchera de bander…
Vendue aux Péonnes .
Une nouvelle fois nous avons repris la route à bord de l?immonde ’Dodge’ .
Cette fois,nous nous dirigeons vers le Nord .
La piste ’Nord’ est heureusement nettement plus roulante que la route empruntée le premier jour .
Après une petite demi heure sur une route poussièreuse,nous abordons les premiers ’vibratores’, annonciateur d?un village tout proche .
Je sors de ma somnolence , nous sommes je crois arrivés .
Le visage est pouilleux comme on pouvait d?ailleurs s?y attendre .
Quelques points lumineux retiennent mon attention, ce sont les quelques rares commerces encore ouverts à cette jheure tardive,autour des quels s?agglutine une clientelle exclusivement féminine .
Nous traversons la place du village , elle aussi déserte .
Nous continuons toujours la route du Nord, l?unique route digne de ce nom qui traverse ce village de part en part .
Nous passons sur de nouveaux ’vibratores’ qui indiquent la fin du village .
Je m?attends à ce que nous gagnions le village suivant, mais non, nous nous arrètons à la première Hacienda sur notre gauche, une hacienda en piteux état, qui a été transformée en ’cantina’ pour ouvriers agricoles .
Nous décendons .
Je ne sais pas à quoi nous devons ressembler, moi dans ma fine robe, escortée par Pedro et ses 4 hommes de main qui arborent tous des mines patibulaires .
’Ascenscion’ le premier, pénètre dans la cantina .
C?est une grande salle assez mal éclairée .
Le tac-tac de mes hauts talons sur le plancher sordide et noir de crasse fait se retourner les têtes de la trentaine de péones accoudés au comptoir.
Ils sont tous abrutis par la Tequila et la Cerveza, mais ils me dévorent des yeux.
D?un signe de la main , Pedro me fait comprendre que je dois m?arrèter ici, au milieu de la pièce, sous la lueur douteuse d?une des ampoules de 25 Watts qui de place en place éclaire tant bien que mal ce bouge infâme .
Je suis le point de mire de tous ces hommes .
Ils seront ce soir, pour la plupart, tous mes amants.
Je le sais,ils le savent .
Mes jambes se mettent à trembler d?excitation
Je sens mes seins pointer à travers le tissus de ma robe .
Mon coeur s?emballe, et ma gorge devient sèche.
Pedro, indifférent aux regards qui s?échangent, se dirige droit vers le patron de l?établissement .
Ils échangent quelques mots à voix basse .
Le patron fait un signe ’oui’ de la tête … Ca m?aurait d?ailleurs étonnés qu?avec Pedro et son escorte quelqu?un ait osé faire un signe ’non’ …
Pedro se retourne vers les peones qui maintenant sont tous à deux doigts d?exploser .
Pas besoin d?avoir décroché une licence chez ’Berlitz’ pour savoir ce qu?il leurs dit ; en résumé, pour quelques pesos, ils pourront goûter aux charmes d?une femme de ’gringo’…..
En me guidant jusqu?au comptoir, Ramon me fait virevolter pour bien montrer la marchandise de choix qui leurs est offert …
La main de Ramon se glisse sous ma robe .
Il la remonte lentement dévoilant mes bas et mon porte-jarretelles .
C?est de la perversité pure… ici,ce n?est sûrement pas ce petit ’plus’ qui est susceptible de changer les ’motivations’ de la ’clientelle potentielle’…. comme on nous disait dans la licence de ’Management’ à l? Université …
En bon vendeur, Pedro me soulève et me pose sur le comptoir.
D?un geste, il m? ordonne de bien écarter les jambes.
Je m?exécute sans discuter, laissant entrevoir à ses hommes mon sexe dégoulinant d?excitation contenue .
Je coule comme une fontaine, le comptoir devient luisant de mes secrétions.
Je devrais être morte de honte, mais je souris d?une moue fière et quelque peu provocante,de cette ignoble situation.
J?échange un regard complice avec Pedro, ravi de ma future performance .
Des poignées de pesos ne tardent pas à sortir des poches et à passer de ces mains anonymes et crasseuses dans celles avides de Pedro.
Des billets froissés et graisseux, des billets retirés du fond de leur poche, des billets durement arrachés à cette terre ingrate , des billets qu?ils retirent de la bouche de leur femme et de leurs enfants pour pouvoir se vautrer comme des porcs sur mon corps, et l?espace d?un instant, se croire ’quelqu?un’ en ensemençant la femme d?un ’gringo’ .
La situation, si sordide soit-elle, me procure une excitation que je n?aurais pas cru
possible .
Une puissante chaleur m?envahit et embrume mon cerveau malade de désir.
Je jouis à l?avence de l?épreuve qui m?est imposée .
Je jouis à l?avence du fabuleux spectacle que je vais donner à Pedro .
Je sais que Pedro ne me quitte pas des yeux.
Je sais que Pedro tient à ce que je me déchaine, à ce que j?épuise ces hommes.
Demain, dans la Sierra, le bruit va courir que la favorite de Pedro parvient à épuiser une vingtaine d?hommes …
Demain, tout le monde saura que la puissance sexuelle de Pedro est sans limite ….
Inconscient du jeu qui se déroule , les péones m?entourent avec des visages luisants de désir et un sourire carnassier aux lèvres.
Je vais leurs donner au cours d?une seule nuit plus de plaisir qu?ils n?en connaitront jamais au cours de leur misérable existence .
Pedro jouit d?avence de la situation et plus encore du spectacle qui va lui être offert ;
la femme du Gringo va devoir satisfaire devant lui une trentaine de Peones ….
Détournant mes yeux des péones surexcités, je vois le regard halluciné et brillant de Pedro qui semble me dire : ’ Va, montre-leurs le feu que tu as entre les hanches,
montre-leurs le feu que seul Pedro peut satisfaire’ ….
Sans un mot,les péones se rassemblent autour de moi,formant un cercle menaçat .
Quelques types, plus courageux que les autres, me couchent sur ce comptoir infect .
On abaisse mon bustier, ma poitrine nue apparait ,les seins érigés .
J?ai les jambes largement écartelée,.
Mon vagin est luisant de mouille.
Plusieurs d?entre eux, se sont approchés pour me palper les cuisses avant de faire glisser leurs doigts dans ma fente.
A chaque fois qu?un doigt trapu et sale s?introduit dans mon vagin , je gémis bien malgrès moi , tandis que mon corps est secoué de frissons .
Des faces hébétées, des visages mal rasés et ricanants se penchent sur mes seins et ma chatte .
Mon corps tremble dans la perspective ignoble et pourtant attendue d?être enfilé par une trentaine de péones aussi moches et pouilleux les uns que les autres.
Une multitude de mains avides parcourent mon corps, triturent ma poitrine, et s?insinuent dans ma chatte baveuse.
Des mains moites de sueurs malsaines, explorent mon corps surchauffé.
D?autres mains me tirent du comptoir.
Je me retrouve allongée sur le sol couvert de sciure, et de mégots de cigarettes .
Des bras me maintiennent les jambes écartées au maximum .
Un homme se laisse bruyament tomber à genoux juste face à moi .
Je sens une queue tendue comme un arc me perforer la chatte qui n?attend que celà .
Tandis que je m?adapte au rythme de mon fouteur, mes pensées errent vers tous ces péones misérables et en sueur qui ont dépensé toutes leurs économies du mois, et qui attendent avec impatience de pouvoir dégorger leur liqueur dans mon vagin.
Une forte odeur musquée environne les hommes qui m’entourent .
Ce parfum nauséeux et difficilement supportable me fait l?effet d?un puissant
aphrodisiaque .
Je sens mon ardeur décupler .
Les muscles intimes de ma chatte enserrent fortement la bite qui me besogne .
A ce rythme, celui qui me baise éjacule rapidement et abondamment.
Son plaisir a visiblement du être trop rapide à son goût
Il se retire une expression mauvaise au visage .
Fou de rage, il crache par terre à côté de moi , tout en me traitant de ’putana’ …
Mais la foule des péones ne le soutient pas;bien au contraire,tout autour de lui les péones sont beaucoup trop excités pour s?attendrir sur le sort de ce amladroit .
Il s?est à peine retiré que je suis déjà prise par un autre.
Je pousse un cri de satisfaction pour accueillir mon nouvel amant ,un cri qui se répercute dans les voûtes basses et enfumées du bar.
Les amants et les queues se sont succédées, les unes plus dures , plus grosses ou plus tendues que les autres, peu importe, ce sont des queues, et mon corps tout entier ne vit plus que pour elles .
Chaque fois que mon sexe se libére, mes soupirs de frustration sont vite remplacés par de nouveaux hululements de plaisir, témoins d?une nouvelle possession de ma chatte .
Je ne peux pas dire par combien de types j?ai été baisée, j?en ai vite perdu le compte . Rapidement,ils ont corrigés ma position pour mieux me pénétrer ; mes genoux touchent maintenant ma poitrine,et la plupart d?entre eux mettent mes chevilles sur leurs épaules,ce qui leurs permets une pénétration bien plus profonde .
Ma chatte dégouline de mouille et de sperme .
Les liqueurs mélangées se répendent sur la sciure qui recouvre le plancher .
Après un temps que je ne peux pas définir, après que chacun des péones ait pris sont dû,l?athmosphère se détend tout autour de moi pendant un moment très bref.
Je sens bien qu?ils n?en ont pas fini avec moi, mais visiblement c?est ’l?entracte’ .
Pour fèter l?évènement, l?aubergiste offre la tournée générale .
Je suis un peu estomaquée, mais il ne m?a pas oubliée dans la tournée ; j?ai moi aussi droit à ma bière …
Il est vrai que je fais marcher son commerce ….
Leurs bières à peine finies, les peones veulent visiblement ’remettre çà’….
Les ’moins vaillants’ se sont retirés , laissant la place aux plus jeunes,et aux plus vicieux .
Sans qu?ils se soient concertés,les ’spectateurs’ s?installent sur des chaises qu?ils disposent en cercle autour de moi , une bouteille de Cerveza à la main .
Je suis au milieu d?eux comme un animal dans une arène attendant la ’mise à mort’ ..
Deux gaillards se présentent torse nu, arborant des mimiques de lutteurs.
Un tonnerre d?applaudissements retentit dans la salle .
Ils sont terriblement musclés,leur corps dégouline de sueur, leurs amples pentalons ne parviennent pas à cacher une superbe érection … des corps pareils feraient saliver bien des femmes …
Je m?attends à ce qu?ils se jettent sur moi,mais non ; le plus fort des deux entamme une discussion enflammée avec la foule des spectateurs .
Je ne parviens pas à comprendre ce qu?ils disent , mais il est clair qu?ils parlent de moi, et qu?il est question de chiffres .
Le tenancier semble être le premier concerné par la conversation, et il vient s?ajoutter lui aussi au cercle des spectateurs, une ardoise et une craie à la main .
Les deux types apparement ’satisfaits’,se retournent vers moi et me transpercent du regard .
L?entrée en matière est assez classique ;après m?avoir forcée à me mettre à genoux, ils se mettent de part et d’autre de ma bouche,et me présentent leur sexe tendu .
Sans un mot , je les prend en bouche,tantôt l’un,tantôt l’autre,tantôt les deux à la fois ,et je les suce du mieux que je peux .
Visiblement heureux de cette entrée en matière, ils m?étendent sur le sol poussiéreux et me font comprendre que je dois garder les jambes bien écartées, face au public ….
Celui qui a pris la parole tout à l?heure, se couche entre mes jambes,et me met son sexe à l’entrée de la vulve .
A mon grand étonement,il ne me pénètre pas d’emblée.
Au contraire il se penche délicatement vers ma poitrine.
Mes seins se tendent à la recherche de sa bouche .
Il me me suce les seins avec une infinie délicatesse , tandis que je sens chaque battement du coeur de l’homme battre dans son sexe sur mes lèvres …. Il va me rendre folle ….. Je n’ai jamais été baisée comme çà ……
Je suis le point de mire de dizaines de paires d?yeux .
Je libère un premier orgasme que je ne parviens plus à contenir .
Ravi du résultat obtenu, il me pénètre .
Je ne suis plus qu’une fontaine .
Mon corps tout entier commence à trembler .
Ravi de mon excitation, je le sens me besogner avec plus de vigueur .
Quand je le sens près à se libérer en moi, ce n’est pas un orgasme,mais un torrent de montagne qui soudain me submerge …
J?hurle mon plaisir dément .
Il ne tarde pas à m?inonder de sa semence .
Avant de se retirer,il s?empare une dernière fois de sa bouche avec sa langue agile .
Autour de son ami maintenant .
Il se couche directement par terre à côté de moi,son sexe pointé vers le plafond .
D?un geste,il me fait comprendre que je dois vérifir si ’tout est en ordre’ avant que les choses sérieuses ne commencent .
Je m?exécute, folle d?envie devant ce corps puissant et merveilleux .
La vérification est de pure forme;sa bite ne pourrait de toute évidence pas être plus rigide qu?elle n?est déjà .
Rassuré , il me fait comprendre que je dois venir m?empaler sur lui, mais ’face au public’ …
Un sourire complice,je me retourne,et je viens m?empaler sur sa queue .
Il se retire mécontent…il y a du avoir une erreur d?orifice…je corrige rapidement la position à sa plus grande satisfaction .
En face de moi,je vois les visages congestionnés des spectateurs dont certains quittent leur chaise pour rejoindre la queue des futurs participants .
Le spectacle de ce pieu de chair planté dans mon cul doit vissiblement être assez extraordinaire ….
L?homme ne m?impose aucun rythme,c?est moi et moi seul qui m?empale sur son sexe .
C?est moi et moi seule qui qui fait monter et descendre cette énorme bite dans mes entrailles .
A mon grand étonement,l?homme est complètement inerte;il se sert de sa bite comme d?un gode.
Je comprends où il veut en venir; il ne tient pas du tout à prendre son plaisir maintenant ,mais par contre il tient à m?en offrir un ….et il fait tout ce qu?il faut ’pour’ …
Je sens le plaisir monter en moi, un plaisir fabuleux .
Une nouvelle fois , je ne peux pas m?empècher de hurler mon bonheur , face à cette foule de visages anonymes abrutis et congestionnés .
J?ai à peine repris mes esprits que le type qui m?encule appelle son copain à la rescousse .
Il se dresse devant moi,un sourire carnassier aux lèvres .
Il me fait signe de m?étendre sur son copain .
Pas besoin d?avoir d?importantes connaissances en anatomie pour comprendre que je vais avoir droit à un sandwich ….
Effectivement, alors que je suis toujours enculée jusqu?à la garde, je sens une deuxième queue qui me pénètre la chatte .
La sensation est fantastique .
Je ne suis plus qu’une poupée entre leurs mains…
Mes deux amants m?imposent maintenant leur rythme, un rythme brutal et puissant .
Une nouvelle fois j?explose …
Une nouvelle fois mes cris de femelle comblée retentissent dans la pièce.
Les spectateurs se marrent …
Je le sais, je m?en fous ….
La seule chose qui compte pour moi, c?est la longueur de la file de mes futurs prétendants qui s?est considérablement allongée suite à ma première prestation ….
Je les sens exploser quasi simultanément en moi .
Ils m?ont bien baisé , mais je suis un peu frustrée ; je m?attendais à une éjaculation plus puissante ….
Heureusement,il me reste les autres pour me rattraper …et le groupe suivant se présente déjà sous les acclamations du public,tandis qu?une chaude discussion éclate autour du cabartier et de son ardoise ….
Quand le dernier péones s?effondre entre mes jambes, ivre et repus, je sens la présence de Pedro à mes côtés .
Il me tend délicatement sa main pour m?aider à me relever .
Après une telle débauche de sexe, je suis confondue par la tendresse et la perversité de cet homme .
Le simple contact de son corps après tant de sexe sans amour me fait jouir .
Avec l?aide de son bras puissant, je me relève en titubant .
Le changement de position libère des flots de sperme et de mouille mellés qui jaillissent de mes entrailles .
Ce jus infâme, témoin de cette folle soirée s?écoule à mes pieds .
Je n?ai qu?une idée en tête,arriver au comptoir,et m?y aggriper pour ne pas tomber .
Je ne sais comment,mais j?y arrive .
Le cabartier, un sourire de commerçant satisfait aux lèvres, me tend une bière .
Je le remercie, mais avant tout, je dois me débarrasser de tout ce sperme qui me couvre le corps ; j?en suis mâculée de la tête aux pieds .
L?homme comprend tout de suite la situation .
Bien gentiment, l?air tout à la fois admiratif,moqueur et méprisant,il me tend le torchon infâme qui lui sert à frotter son comptoir pour que je me débarbouille …
Ma petite toilette faite,la tête toujours un peu vide,je discerne dans un demi brouillard
des types qui discuttent autour de l?ardoise qui m?a tant intrigué tout à l?heure…
3 colonnes parrallèles,couvertes d?une multitude de croix séparées par des traits horizontaux surmontés de signes cabalistiques .
Pas un mot d?écrit ; le type doit être analphabète .
Me voyant avec l?ardoise en mains, plusieurs types se mettent à rire .
Qu?est ce que cette connerie peut bien être ?
Mes deux premiers amants viennent à mon secours .
Ils m?entourent et me serrent dans leurs bras .
Le plus jeune me prend l?ardoise des mains .
Il me montre les deux premières croix de la première colonne,et d?un air fier me fait comprendre par signe qu?il s?agit d?eux deux .
En face, deux colones pleines de croix.
Il me montre maintenant la deuxième colone, et sa main passe avec fièreté de la colone à son sexe .
Il me montre avec un grand sourire et un regard lumineux la troisième colonne en me désignant cette fois du doigt .
Je comprends tout maintenannt ; sur cette ardoise ,il y a toute ma déchéance; le nombre de types qui m?ont baisé à chaque fois,le nombre de fois qu?ils m?ont baisé,le nombre de fois que j?ai joui ….
C?était un concours… et j?ai joué à la fois le rôle de jouet et d?enjeu .
Pedro a atteint son but .
Je suis devenue sa pute , une pute qui parvient à épuiser trente hommes dans ses reins .
La gloire de Pedro est sans limite
Mes doigts se referment sur ses bras .
Mes ongles s? enfoncent dans sa chair avec tendresse .
Je pleure de bonheur dans ses bras .
Pedro affiche une fièreté et un bonheur éclatant quand nous sortons de la cantina ,moi à son bras en femelle heureuse du seul fait de se retrouver aux bras de son maître .
Il est fier de moi, il est fier de mon comportement avec ces peones, il est fier de cette marque d?amour et de soumission que je viens de lui apporter .
Toujours dans son anglais approximatif ,Pedro me chuchotte calinement à l?oreille :
’You ,wonderful to day’ .
’I have a job for you’ .
Le chemin de retour se fait sans un mot .
Dès notre retour à l?hacienda, Pedro saute en bas du Dodge, et nous laisse là .
Je suis ses hommes, traverse l?Hacienda ’rurale’, et je me dirige vers mes ’appartements’ situés de l?autre côté du mur, à l?autre extrémité de l?Hacienda ’privée’ .
En me quittant, les hommes de Don Pedro me saluent de la main …le viol, ça crée des liens …
Je n?ai pas fait quelques pas que le majordome , surgit de nulle part, me barre la route .
Respectueusement, il s?incline devant moi, et me fait signe de le suivre .
Nous nous dirigeons cette fois vers les bâtiments principaux de l?hacienda ’privée’ .
Le majordome m?indique mes nouveaux appartements ; une superbe chambre avec vue sur les jardins privés de l?hacienda m?attend .
Le majordome toujours obséquieux m?explique la raison de ce radical changement de logement et de statut : ’ Don Pedro vous a trouvé un logement plus à la mesure de votre condition , et de vos nouvelles fonctions ’ .
’Demain, nous allons recevoir ’du monde’ ….
’Il veut que vous soyez au mieux de votre forme ’ …
Va y avoir des suites,hein les mecs…
Ca c?est sur …
C?est d?ailleurs une histoire ’à suite’,
Sinon j?aurais pas mis ’N?4’…
…. Evidement …
Si cette histoire vous a plu,
Si vous avez des remarques ou suggestiion,
Une seule adresse
Pervers Pépère is waiting for you !