5ème jour:
Toute la nuit, je n’ai rêvé que du sexe de Karim. En mon fort intérieur je savais que j’allais de nouveau lui céder ma bouche, je le voulais et en plus il m’envoûtait. Même si deux personnes savaient que mon mari était à moitié cocu, je mourais d’envie de le sucer de nouveau. La journée de marche fut de nouveau magnifique. Le Mali est vraiment un joli pays.
Arrivée au camps, une fois la tente montée, Alain voulait nettoyer ses lentilles d’appareil photo, je suis donc partie seule trouver un coin tranquille pour me laver et faire la lessive. Suivre le court d’eau ou bien remonter un peu la montagne où un petit torrent se faufiler dans une gorge. Le torrent m’attirait plus, car je voulais me délasser au soleil. En passant devant la tente cuisine, sans y jeter un il à l’intérieur, je dis juste à Karim que j’allais me laver. Je ne sais pas pourquoi j’ai dit ça mais je savais que je jouais avec le feu et que Karim allait surement me suivre. Les rives du torrent étaient escarpées et s’enfonçaient dans la montagne.
Après 20 minutes de marche, le torrent formait une petite cascade pour chuter et formait à sa chute comme une grande baignoire assez profonde encastrer entre les deux falaises de la montagne. Étant très isolée, je décidais de me baignait, nue dans cette baignoire naturelle. Au fond de moi j’étais déçu de ne pas voir Karim me suivre. L’eau était rafraîchissante et très agréable sur mon corps, je découvris sous l’eau un rocher plat légèrement penché vers le haut, une fois allonge déçu, je n’avais que la tête qui dépassait de l’eau. J’étais pas une adepte du nudisme mais c’était bien agréable d’être nue comme ça, allonger dans l’eau.
J’ai du m’assoupir car je ressentais une douce sensation entre mes jambes; lorsque j’ouvris les yeux, je découvris Karim en face de moi nue dans l’eau qui me doigtait le clitoris.
J’essayais de retirer sa main, mais il insista et enfonça même un deuxième doigt dans ma chatte. Je le suppliais d’arrêter. Sucer était une chose, mais je ne voulais pas aller plus loin. J’étais mariée et en voyage de noces, fallait pas abuser.
Mais Karim ne s’arrêta pas et continua de me doigter. Je sentis le désir monter en moi et serra les dents pour ne pas montrer mon plaisir. Mais le plaisir était bien là et lorsque je lécha sa main, il comprit qu’il avait gagné. Je voulais jouir de ses doigts !
Dans ma tête je voulais jouir et pourquoi pas le sucer mais, je ne voulais pas aller plus loin. Je voulais garder ma grotte secrète pour mon mari, c’est la moindre des choses.
Il me retourna pour me mettre à quatre pattes sur le rocher, pour mieux me doigter. C’était un délice, j’étais concentré sur mon plaisir et pas une fois je fis attention à son sexe, je voulais juste jouir sous ses doigts. Je fus surprise quand je sentis sa douce langue sur ma vulve. Alain ne me l’avait jamais fait et ce fut une magnifique découverte pour moi, j’eus rapidement un orgasme sous les coups de sa langue. J’adorais sentir sa langue se glisser entre mes lèvres. Je ne le voyais pas agir, mais je le devinais accroupis derrière moi en train de me lécher. De temps en temps il s’arrêtait pour mieux me doigter, enfonçant jusqu’à trois doigts entre mes lèvres. Sous le supplice je lui réclamais son sexe à sucer, j’en mourais d’envie. J’avais assez jouis sous ses coups de langues et ses doigts.
Je fus surprise lorsque je sentis un quatrième doigts dans ma chatte, je n’avais pas fait attention, mais ses doigts devaient être bien longs pour aller si profond en moi. Mais après deux trois mouvements en moi et lorsque je sentis ses deux mains sur mes hanches, je compris que ce n’était pas ses doigts qui coulissaient en moi, mais son sexe. Ce n’était pas la peine que je me retourne pour avoir confirmation, il n’y avait plus aucun doute quand je sentis son pubis contre mes fesses. Il avait réussi à glisser tout son sexe en moi, je n’en revenais pas. Après 5-6 allers-retour, voyant mon refus, il se retira et laissa en moi un grand vide. Il revint en moi seulement y glisser le bout de son gland entre mes lèvres.
— Avoue que t’en meurt d’envie ! me déclarât-il.
Il avait raison, je me sentais vide, une sensation jamais éprouver avec mon mari. C’est moi-même qui recula pour mieux m’embrocher sur son sexe, il fit coulisser son sexe sur toute sa longueur en moi. C’était bon, un régal.
Il se dégagea de moi, me pris la main et nos sortîmes du torrent, il m’allongea sur le ventre, écarta mes jambes et me pénétra de nouveau, j’étais totalement écraser contre le sol sous ses coups de boutoirs. Il me baisait de plus en plus vite. Après plusieurs orgasmes il n’avait toujours pas jouit. Je ne savais pas qu’un homme pouvait être aussi endurant. Avec mon mari c’était 15 minutes maximum. Je sentis son sexe grossir en moi puis vibrer en moi. Il se vidait en moi, je pouvais sentir ses décharges de foutre contre mon utérus. Une quantité énorme, c’est la première fois que je pouvais ressentir le sperme gicler en moi.
Il se releva et je vis son sexe encore énorme recouvert de sperme et de ma mouille, pendre entre ses jambes. Il remit sa djellaba sans se rincer et m’ordonna de me rhabiller pour rejoindre le camp. Juste avant d’arriver au camp il souleva sa djellaba et m’ordonna de le sucer. Sa bite, sentait bon le sperme et ma mouille. Drôle de sensation de le sucer alors que l’on voyait l’agitation du camps.
Après 15 grosses minutes il déchargea au fond de ma gorge. Je n’en perdis pas une goutte, c’était toujours aussi bon. Une fois son sexe propre, il descendit sa djellaba et me laissa sur place la bouche encore pleine de son sperme.
Le soir sous la tente lorsque je fis un câlin à Alain, je laissais la lumière allumée. J’avais peur qu’il me trouve dilatée. Mais il ne se rendit compte de rien, me faisant seulement remarquer que je mouillais beaucoup ce soir. Pas une seconde il n’imagina qu’il coulissait dans le sperme de son cuisinier. Je dû simuler pour la première fois avec mon mari, car je trouvais son sexe bien petit et sa performance bien minime par rapport à Karim…