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Voyage professionnel – Chapitre 1

Voyage professionnel - Chapitre 1



Avril 1999, encore un voyage pour Roznov, petite ville industrielle de la république Tchèque. Décidément je passe beaucoup de temps dans les aéroports et les chambres dhôtel depuis quelques années. Parti de Toulouse 2 heures plus tôt, me voilà à Roissy CDG, dans la salle dembarquement du vol CSA pour Prague. Ce soir, nuit à lhôtel, puis il faudra me lever à 5h30 pour attraper le vol dOstrava sur un petit bimoteur. Il fait beau, je passe le contrôle des bagages à main et minstalle dans la salle dembarquement.

Les sièges de plastique ont été remplacés par des banquettes recouvertes de velours bleu, disposées en demi-arc de cercle. Lisant distraitement un journal, japerçois face à moi une femme en tailleur noir, chemisier blanc, escarpins, un collant couleur champagne, assise les jambes croisées bien haut. Je la trouve gonflée, elle montre la moitié de ses cuisses. Cheveux coupés au carré, un beau visage rond, elle aussi lit une revue. Moi qui aie toujours été attiré par les femmes dallure classe, ses cuisses pleines mattirent, je ne peux détacher mon regard. Elle doit le sentir, car elle jette un coup dil vers moi, plonge ses yeux dans les miens, tentant de me faire baisser les yeux, sans y parvenir, puis mignore royalement. Peu importe, je continue à la fixer, le jeu mamuse.

On nous appelle pour lembarquement. Je la laisse se lever avant moi. Son attaché-case à la main, la lanière du sac sur une épaule, un foulard rouge noué autour du cou, juchée sur ses escarpins faisant ressortir des mollets musclés et bien dessinés, elle a vraiment beaucoup dallure, et surtout des formes de femme : une poitrine bien ronde, des fesses moulées par la jupe serrée. Je la trouve superbe. Entrant dans lavion pour prendre place en business class, le jeu prend une tournure à laquelle je ne mattendais pas : dans la même rangée que moi, de lautre côté de lallée centrale : Elle ! Déjà assise, toujours les jambes croisées exhibant la moitié sinon plus de ses cuisses pulpeuses, elle mignore toujours, le regard plongé dans ses documents.

Pendant tout le trajet jusquà Prague, je ne cesse pas de la regarder en coin. Elle parait sen moquer complètement, pourtant je remarque qu’elle remue beaucoup, faisant glisser de temps en temps une cuisse sur l’autre, ce qui bien entendu fait remonter le bord de la jupe, l’obligeant à la remettre fréquemment en place. Une hôtesse ravissante distribuant les boissons saperçoit de mon manège et madresse un sourire.

Nous arrivons enfin. La femme a disparu après avoir passé le contrôle de police. Je cherche un taxi pour le Hilton, et finit par loublier complètement.

L’hôtel est magnifique. Situé sur les bords de la Vltava (affluent de l’Elbe), en plein centre, avec un immense lobby décoré de très hautes plantes vertes, ma chambre est située au 11ème étage, vue directe sur le fleuve. Après avoir dîné, plutôt que de regarder la télé seul dans ma chambre, je minstalle dans un des recoins du lobby, deux banquettes en L entourées de plantes. La luminosité a été diminué, donnant une atmosphère douce dans ce hall immense.

Soudain, je vois passer la femme, celle de lavion. Elle m’aperçoit, sarrête, se dirige vers moi, et avec un grand sourire :

— Vous êtes là !

Stupéfait, je réponds en bafouillant un peu :

— Oui, bonsoir. Vous aussi vous êtes descendu dans cet hôtel ?

— On y est bien. Jaime cet hôtel, les chambres sont vraiment spacieuses.

— Et la vue est splendide, sur le fleuve et les bâtiments baroques.

— Je mappelle Marie. Vous venez souvent à Prague ?

Et elle sinstalle près de moi, sur lautre côté de la banquette, toujours en croisant les jambes bien haut ! Cette petite garce ma ignoré pendant tout le voyage, et la voilà engageant la conversation sur la ville de Prague, me posant des questions sur la raison de mon voyage. Je lui propose une coupe de champagne, quelle accepte avec un large sourire. Elle a ajouté des boucles doreille, assorties à un ras du cou en or fin. Le foulard de soie rouge est toujours là, lui couvrant la nuque. Cette fois-ci, elle ne fait plus hautaine du tout. Je la trouve très séduisante, attirante, de plus en plus. Elle est volubile, agite les mains en parlant. Assise dans la banquette profonde, sa jupe a encore remonté Deux coupes de Gosset plus tard, je mamuse maintenant franchement : je mate sans vergogne ses cuisses pleines. Elle le sent bien entendu, et ça semble lamuser beaucoup, elle ne se gêne pas pour croiser et décroiser les jambes. Je commence sérieusement à croire quelle cherche à mallumer. Mais ce genre de situation narrive que dans les films. Et puis, je dois me lever tôt demain matin. Elle me dit travailler dans la mode, et doit rencontrer de jeunes créateurs locaux. Egayés par lalcool, notre conversation dérive vers les dessous féminins. Je lui avoue aimer les jambes gainées par des bas fins en voile. Elle me sourit :

— Vous naimez pas les collants ?

— Jai horreur de ça. Est-ce grave, docteur ?

Son rire crépite, elle est très à laise. Soudainement elle se lève et annonce :

— Je reviens dans cinq minutes. Commandez-moi une autre coupe de ce merveilleux champagne, et surtout attendez-moi !

Que répondre à cela ? Je suis sa silhouette tandis quelle se dirige vers les ascenseurs, faisant claquer ses talons sur le dallage en marbre, balançant les fesses à chaque pas, plus que naturellement il me semble. Elle mexcite, cette belle femme. Pas jolie comme un mannequin, non, dailleurs ça ne maurait pas intéressé, mais son allure la rend vraiment belle, avec des hanches de femme. Sa silhouette émane une sensualité à fleur de peau.

Dix minutes plus tard, personne. Bien, elle ma allumé, elle sest bien amusée, il est temps de me coucher moi aussi. A linstant où jallais me lever, je la vois arriver. Quelle délicieuse vision : le chemisier largement ouvert, deux boutons ont été défait, la démarche fait ballotter les seins son soutien-gorge a disparu ! Elle est débordante de sensualité. Elle ne sourit plus, jai limpression de voir un léger tremblement dans sa main lorsquelle encore debout elle saisit sa coupe. Evidemment j’ai une pleine vue sur ses seins, de beaux nichons lourds à la peau laiteuse. Rougissante elle sassoit, croise les jambes comme à laccoutumée, découvrant ce morceau de peau blanche, si chaud et si tendre, au-dessus de la lisière des bas couleur chair quelle porte maintenant !

Mon cur bat à tout rompre. Elle sest remaquillée les yeux, la bouche est recouverte dun rouge luisant, lui donnant des lèvres pulpeuses. Son parfum menivre. Nous ne disons rien pendant presque une minute, la tension due à cette exhibition nous rend silencieux. Je sens ma queue à l’étroit dans mon pantalon, me faisant presque mal. Elle boit une nouvelle gorgée de liquide, se cambre, tourne le buste vers moi, mexhibant encore une fois la moitié de ses seins nus. Alors, un léger sourire sur les lèvres, elle me dit dune voix rauque:

— Ca vous plait ?

— Quoi donc Marie ? Je lui rétorque, mefforçant de garder une voix assurée.

— Ce que vous regardez…

Sidéré par son audace, je marque un temps avant de lui répondre. Pour garder le contrôle de la situation, je fixe mon regard sur ses cuisses si joliment gainées, puis les seins. Elle respire vite, soulevant la poitrine à chaque bouffée dair.

— Bien entendu ça me plait. Vous êtes superbe… superbe et délicieusement sexy !

— Vous navez pas cessé de me mater dans lavion. Alors maintenant, je vous en offre un peu plus !

— Vous avez de très jolies jambes, ou plutôt de très belles cuisses

— La couleur des bas vous plaisent ?

— pas que la couleur, Marie, pas que la couleur, ce qu’il y a en haut de la lisière des bas me plait aussi… savez-vous que vous êtes… puis laissant passer trois secondes avant de poursuivre… excitante !

Elle rit, nerveusement, un rire qui vient du plus profond de sa gorge. Profitant de la lumière tamisée du hall, je pose une main sur sa joue. Nous sommes bien, abrités par les rangées de plantes vertes qui entourent notre banquette. Alors jen profite. Je laisse glisser mes doigts le long de son visage, effleurant le cou, descend jusquau sillon des seins, dégrafe un autre bouton de son chemisier, qui souvre jusquau ventre. Elle me laisse faire, toujours cambrée, les yeux plantés dans les miens. Ma main empaume un des globes nus durcis par l excitation. Elle soupire, semble chercher de lair, les lèvres entrouvertes. Je me régale à caresser ce sein, dont la peau est brûlante, douce et moite. Je le soupèse, gratte le téton avec l’ongle de mon pouce, le pinçant légèrement.

Puis, délaissant la poitrine, je pose la main sur son genou, remonte lentement le long de sa cuisse, faisant crisser mes doigts sur le tissu fin du bas. Elle suit du regard le mouvement de ma main, décroise les jambes, redresse la tête, plonge les yeux dans les miens, me défiant fièrement du regard. Mes doigts franchissent la lisière du bas, atteignent la chair nue, là où le grain de peau est si fin, électrisant ma paume. Elle se cambre encore, ferme les yeux, écarte légèrement les genoux. Jen profite pour glisser la main entre les cuisses, là où la peau est brûlante, ferme et tendre à la fois, une peau de femme, délicieuse à toucher, à caresser.

— Retirez votre main, on va nous voir !

— Cest vous qui avait provoqué ce jeu, maintenant il faut assumer.

— Non, c’est vous, dans la salle d’embarquement, dans l’avion.

Ignorant ses arguments, mes doigts glissent un peu plus haut, effleurant quelques poils débordants de la culotte, englués de mouille.

— Sil vous plait, arrêtez !

— Voyons Marie, vous aimez mes doigts n’est-ce pas… Ecartez encore un peu vos si belles cuisses !

— Nonnn, je vous en prie, je suis trop… excitée.

Retirant ma main je porte les doigts à mes lèvres, hume l’odeur de chatte qui en émane, les glisse dans ma bouche… Je bande comme un salaud, elle me rend dingue !

— Patrice, s’il vous plait, partons d’ici, emmenez-moi…

Nous nous levons. Elle referme sa veste, me regarde encore dans les yeux, le regard flou. En étant debout, elle se rend compte quelle est affreusement mouillée. Le tissu de la culotte colle à sa vulve. Elle part devant, la suivant je ne vois que ses fesses plantureuses étroitement moulées par le tissus de la jupe, sa démarche est élégante, perchée sur ses escarpins. Malgré ses formes de femme épanouie les attaches des chevilles et des genoux sont fines. Dans lascenseur qui monte à mon étage, je caresse son cul. En gémissant, elle se colle à moi, me tend ses lèvres, membrasse fougueusement. Nos dents s’entrechoquent, sa langue repousse la mienne pour envahir ma bouche, des filets de bave collent à nos lèvres.

Reprenant son souffle, elle avoue :

— Salaud, vous mavez excité comme une folle dans cet avion. Je sentais vos yeux fixés sur moi, je ne savais vraiment plus où jen étais. Rarement un homme mavait déshabillé du regard comme vous lavez fait, jen avais les jambes qui tremblaient. Javais terriblement envie de vous. Je sentais votre regard qui me brûlait, jaurais voulu pouvoir vous en montrer plus, là, au milieu de tous ces gens.

— Vous mavez plu tout de suite. Jaime votre allure si classe, vos formes, vos seins lourds et durs, vos cuisses que vous montrez sans vergogne…

— Oh, taisez-vous ! Jai tellement envie dun homme, de vous.

Arrivés au 11ème étage, la prenant par la taille, je lentraîne dans ma chambre. Elle se colle encore contre moi, nous heurtant contre le chambranle de la porte. Sa langue senfonce dans ma bouche, tourne, virevolte. Je lui rends son baiser avec passion, pétrit ses fesses à pleines mains. Dun coup de pied, je referme la porte.

Fou de désir, mes mains se ruent à lassaut de son chemisier, louvre. Les seins jaillissent, libres. Ils ne sont pas parfait, mais ça la rend plus humaine, plus excitante. Ils sont lourds et fermes, durcis par lexcitation. Longtemps je les caresse, les tripote. Des gouttes de transpiration roulent dans le sillon séparant les deux globes. Les aréoles, terminées par des mamelons épais, tendus, me donnent envie de la téter. Les reins cambrés, elle me les offre, le regard flou, enserrant mon visage de ses mains.

Pour la calmer, je délaisse sa poitrine, lembrasse tendrement. Mes mains caressent son dos nu, descendent le long des reins. Je lui fais sentir mon désir en appuyant ma queue contre son pubis. Le brusque silence la trouble. Fuyant mon regard, elle remonte sa jupe au niveau des reins, offrant ses fesses presque nues à la caresse de mes mains. Je saisis les deux globes de chair vivante, les pétris, insinuant un doigt le long du bord de la culotte.

Ivre denvie, elle ouvre ma chemise, caresse mon torse, quelques instants seulement, avant de se ruer vers ma ceinture quelle défait maladroitement, les doigts tremblants dexcitation. Ses doigts bagués saisissent mon membre, le dégage du slip. Mon cur bat à tout rompre. Elle fixe ma queue au gland mauve quelle fait saillir dans sa paume.

Mes doigts suivent le contour de sa culotte, atteignent la vulve à peine recouverte par le tissu fin. Quelques poils englués de mouille saccrochent à mes ongles.

— Vous êtes trempée, petite cochonne, votre culotte est à tordre !

Je lui baisse son slip, jusquau niveau des genoux, pas plus bas. Ses jambes tremblent. Ma main sinfiltre, deux doigts suivent le contour des petites lèvres, les pincent légèrement, atteignent le clitoris turgescent, leffleurant à peine. Elle pousse un gémissement, tend sa chatte à la rencontre de mes doigts. Brusquement, je les enfonce dans le con gluant, bien à fond. Lâchant ma queue elle s’agrippe à mes épaules.

— Marie, Je vais te baiser ! Ta chatte dégouline, tu sens la femelle en chaleur. Tu as envie d’une bite, n’est-ce pas, une bonne bite bien dure !

— Oh, vous me dites des choses tu tu me parles comme à une cest ça mexcite !

Mes mots fouettent lexcitation de la femme qui ferme les yeux. Elle tend le bras, cherche ma tige en tâtonnant, sa main lempoigne, la serre à men faire crier. Elle soupire, jen profite pour la plaquer contre le bureau. Mon gland cogne contre son pubis, froisse les nymphes enflées de sa vulve. Elle écarte les jambes autant que lui permet la culotte qui lui scie les cuisses. Elle étouffe des gémissements sourds en plaquant sa bouche dans mon cou. Mes doigts écartent les petites lèvres gonflées, fouillent la vulve, des gouttes de mouille glissent, engluant les poils, ma main est trempée de jus, du jus brûlant de femelle, elle me rend fou.

— Prends-moi, sil te plait, vite

— Tu veux quoi, Marie ?

— Te sentir, en moi.

— Je nai pas bien compris, Marie. Tu veux quoi, et où ?

— Oh, tu es si vicieux je veux ta queue ! Dit-elle dans un souffle.

— Tu veux ma queue ? Cest ça, tu la veux, bien profond ?

— Ouiii, profond, loin, je veux la sentir dans ma chatte, je veux quelle me remplisse

Maladroitement, elle tente de se débarrasser de son slip, réussit finalement à le faire glisser jusquà ses chevilles. Je lattrape par la taille, lassoit sur la console, bousculant au passage le combiné du téléphone. Lagrippant sous les genoux, je soulève ses cuisses. Ses jambes gainées par le nylon me rendent dingue. La vulve est enflée, gorgée de jus. Pour me provoquer, elle louvre à deux mains. Mes narines senivrent de lodeur qui sen échappe. Je ne sais plus où porter le regard : ses jambes, ses seins, son sexe offert, ses yeux vitreux, un demi-sourire un peu moqueur sur les lèvres.

Posant sa main sur mon crâne, elle me plaque la bouche sur ses lèvres molles qui sécartent sur les muqueuses enflées. Je lèche la fente à laveuglette, fouille les replis de sa chatte. Sous ma langue, je sens un petit bout de chair très dur : le bouton. Elle pousse un cri aigu, de surprise et de plaisir. Jaspire son clitoris entre mes lèvres, le titillant avec ma langue. Elle pousse un râle rauque, en soulevant son bassin. Pour jouir si rapidement, elle doit en avoir autant envie que moi.

Mais le désir est trop fort, un désir incontrôlable. Je me redresse, et mes yeux plongés dans les siens, je courbe ma queue contre sa chatte.

— Tu es belle Marie, terriblement obscène et belle. Tu es une merveilleuse femelle.

Les yeux vagues, elle se laisse aller en arrière, et mattire sur elle en murmurant dune voix sourde :

— Oh… tu es si vicieux… viens en moi.

Mon membre dérape entre les replis de la vulve, puis brusquement, violemment, senfonce dans le con brûlant. Elle est très ouverte, son vagin est chaud, émettant de petits flots de mouille. Je suis bien en elle, je sens ses chairs souples sous mes mains.

— Tu me sens, Marie ?

— Ouiii, tu me remplis. Bourre-moi fort, vas-y !

Mais je la trouve trop passive. Pour lexciter, je lui glisse dans loreille :

— Ta chatte me suce la bite, Marie, cest délicieux.

Les mots sales que je lui susurre fouettent ses sens. Elle pousse un cri, attrape mes fesses et me serre contre elle. Des mots sans suite séchappent de ses lèvres. Elle gémit, sentant la jouissance monter du creux de ses cuisses, provoquant dinterminables secousses dans son ventre. A chaque mouvement des reins, mes couilles frappent son cul. Nos bouches se cherchent, nos dents sentrechoquent, nos langues semmêlent dans un ballet infernal. Ses seins couverts de sueur sécrasent contre mon torse. Je lagrippe sous les cuisses, écartant ses fesses qui remplissent bien mes mains.

— Tu sens mes doigts qui ouvrent ton cul ?

— Oh, quand même mais oui, continue !

Je nen peux plus. Hors de moi, je menfonce encore plus profond, à chaque va-et-vient mon bassin heurte le sien, provoquant un claquement de chairs humides. Son attitude de femelle en manque mexcite comme un dingue. Soudain, elle pousse un long cri aigu. Je sens une giclée de mouille chaude me brûler la queue.

— Marie, ma belle, je vais jouir, je ne vais plus pouvoir tenir longtemps.

Le regard vague, la voix tremblante, elle me dit :

— Attends, je veux ton sperme sur mes seins.

Me séparant delle, je laisse retomber ses jambes. Elle descend du meuble, saccroupit, tend ses yeux brillants vers les miens :

— Viens, vas-y, donne-moi tout de toi.

Un spasme secoue mon bas-ventre, mon sperme fuse, éclabousse ses seins, son ventre. Je maffaisse sur elle, dans ses bras chauds.

Nous dormons lun contre lautre, elle le dos tourné, bien calée contre mon torse. Je lentoure de mon bras, emprisonnant un de ses seins. Le lendemain, lorsque le réveil sonne, elle nest plus là. Seule lodeur chaude de son corps a laissé son empreinte dans les draps. Marie a disparue.

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