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Voyage temporel – Chapitre 8

Voyage temporel - Chapitre 8



Cindy vint se blottir dans mes bras. Je l’entourai de mes mains protectrices pendant qu’elle pleurnichait.

« Je pensais que papa… Voulait faire des expériences normales… mais maintenant je suis un monstre ! »

Sans rien dire je sortis ma bite de mon caleçon et la passa sur le trio de seins, la greffe était parfaite si bien que l’on aurait cru que Cindy était née ainsi. Ma sur me sourit, je m’attardais sur sa jolie greffe avant de m’asseoir à côté d’elle et lui dire tout en massant son troisième sein.

« – Tu sais Cindy, si papa ne savait pas ce qu’il faisait il ne l’aurait pas testé sur toi.

Tu crois ? Chouina t-elle.

Il aime trop ton petit cul… »

Cela lui arracha un sourire.

« -Mmmm… Carl tes mains sont douces.

Ce sont tes seins… Ils sont pas comme… Enfin, ils dégagent une odeur excitante.

Montre… »

Richard travaillait au labo, il ignorait ce qui allait se passer dans les secondes qui suivirent quand il entendit ses enfants crier de surprise.

Je pris du liquide qui avait une belle couleur or et la prit en bouche, ce fut une révélation. Je n’avais jamais goûté d’une chose aussi exquise. Intriguer je palpai une nouvelle fois ses seins et fut asperger de geysers dorés. Ma sur avait l’aire de prendre aussi du plaisir, le sein du milieu en bouche et les deux autres dans mes mains je tirais le maximum de liquide. Je sentis rapidement ma verge qui avait triplé de volume prise par une main chaude. Ma sur me branlait lentement en couinant. Les deux seins se trouvant sur l’extérieur firent jaillirent leur nectar doré qui s’écrasa sur mes joues. Cindy poussait des râles de plaisir. Caressant sa vulve en feu d’une main et ma bite de l’autre. Elle accéléra sa branlette pendant que je puisais cet or liquide intarissable. Ma bouche ne pouvait avaler le flot que déversaient les seins de ma sur qu’ils finirent sur les draps. Ne fut pas ma surprise de voir couler de la minette de ma sur le même liquide doré.

Cindy plaça ces jambes croisées sur mes omoplates, et orienta ses tétons vers moi pour m’asperger le visage. L’odeur de ce minou rasé de prêt suintant de ce liquide délicieux me donna une trique d’enfer si bien que je ne pus continuer ma caresse de son vagin magique. Je présentai ma verge devant le Con de ma sur, et m’enfourna sans problème, Cindy hurla de bonheur et déversant sur ma bite son miel. A chaque coup de reins je restais un peu plus longtemps, ne fut pas ma surprise quand a chaque fois que ma verge touchait le font de la grotte de ma sur une impression s’empara de moi.

Comment la décrire ? C’est comme si… voilà le liquide de ma sur s’enroulait autour de ma verge me provoquant de plus vive excitation. Mes mains se baladaient sur sa poitrine si délicieuse.

« – Ca… mmm… Carl !

— Ou… Oui Surette… Chérie ?

Donne-moi de ce… Liquide… mmmm… ta bite est bonne. »

Sans stopper mes coups de reins je ramassai avec mon doigt les perles dorées qui coulaient sur Cindy pour les porter à sa bouche. Ma sur se rua dessus et les lécha avec bonheur.

Son visage se déforma et elle s’allongea à côté de moi. Pris de panique je ne pus rien faire avant que de ses tétons et de sa chatte jaillissent des torrents sans fin de liquide doré.

Richard ouvrit la porte de la chambre et fut étonner du spectacle, pas le fait que son fils et sa fille vannaient de commettre l’acte incestueux, car cela ne le gênait aucunement mais plutôt voir Cindy perdant de ses trois seins un joli liquide doré. Intriguer il s’approcha d’elle et passant sa main dans le liquide puis le portant a sa bouche son regard changea. Il enleva son jean et son caleçon pour enfoncer sa verge dans la bouche de Cindy, ma sur fut contrainte alors de procurer une fellation à notre père. Le son caractéristique d’un gland percutant des amygdales se fit entendre, la jeune fille blonde devenait rouge et salivait tellement quelle forma une petite flaque sur le sol. Prenant ma bite à la main je me branlais au rythme de papa.

Richard donna un dernier coup de reins dans la gorge de sa fille et la laissa se reposer, enfin… Cindy fut prise de violents spasmes avant d’éjecter de ses tétons pointus des vagues de liquide. La jeune fille toussa fortement mais sa vulve et de ses seins coulait toujours. Ce fut à ce moment que maman fit son apparition, elle portait de jolies jarretelles blanches reliées à une culotte bleu ciel et blanche, son soutien-gorge fait comme des filets laissait bien paraître sa poitrine désirable. Elle prit sa fille par la main et s’enferma dans sa chambre.

Cindy était complètement déboussolée, reprenant lentement ses esprits elle vit sa mère lui masser les seins avec une sorte d’huile.

« -Coucou ma princesse.

Ou on est ?

Dans ma chambre, ne t’inquiète pas mon bébé maman est la… Mon pauvre trésor.

Ou son papa et Carl ? Marmonna la jeune fille.

Après ce qu’ils t’ont fait je les ai mis dehors en les obligeant à revenir le visage ruisselant de sperme.

Vraiment ? »

Sylvie continua son massage en esquissant un sourire. Cindy sentit le liquide remonter sous les caresses de sa mère.

« – Tu crois que papa pourra me retirer mon sein en trop et me garder mon liquide ?

Quel liquide ? Demanda sa mère en ouvrant de grands yeux.

Viens ! »

Cindy prit la tête de sa mère et la posa sur sa poitrine.

Sylvie malaxa les seins un a un de sa fille chérie et le mit en bouche. La jeune femme sentit son corps s’électriser. Sa mère malaxait ses seins avec habileté et amour, passant sa langue plusieurs fois sur les tétons durcis par l’excitation. Cindy était aux anges, puis une main se posa sur sa vulve qui ne désirait plus que cela. Le bassin de la jeune fille se contracta et évacua sur la tête de sa mère des vagues et des vagues de liquide doré. Sylvie poussa un petit cri d’étonnement avant de stopper la « fuite » en plaquant sa bouche sur le sexe de sa fille.

Cindy respirait à mille à l’heure, elle se sentait épuiser. La tête lui tourna et ne vit pas sa mère la porter dans son lit. Épuiser de sa journée Sylvie sessaya, et vit les deux hommes rentrer épuisés le visage suintant de sperme. Sylvie se leva nettoya les hommes avec sa langue et les envoya se coucher. Mais elle n’était pas prête pour ce qui allait se passer par la suite.

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