Karine rentre chez elle. Florent n’est pas rentré.
— Est-ce que je prends une douche ? Si Florent trouve des odeurs bizarres, il va falloir que je m’explique. Et puis non, nous verrons bien. Je vais lui préparer un bon petit dîner s’il est en forme, peut-être voudra-t-il s’occuper de moi. Je deviens vraiment accro aux parties de cul mais tant que je ne suis pas trop vieille il faut que j’en profite. Il n’y a pas de mal à se faire du bien et ça ne dérange personne. Ce soir j’ai envie d’une bonne vraie queue. Je vais me préparer comme une pute
Pendant qu’elle se prépare dans sa chambre, elle entend la porte d’entrée s’ouvrir.
— C’est toi Florent ?
— Oui, je suis avec Julien et un autre copain, on va fêter la fin des partiels, on a une surprise pour toi.
Karine passe une robe de chambre sur sa tenue de pute et vient accueillir ses visiteurs.
— Je te présente Alain, Julien tu connais. La surprise, c’est qu’on est venu te baiser à trois.
— Eh bien ça, c’est du direct mais ça tombe bien ce soir j’ai envie de vraies queues, Julien me connaît je suppose que tu as tout raconté à Alain ?
— Oui maman salope, et ça, c’est dans le cadre de ta soumission. Allez les gars, à poil, toi aussi Karine.
La salope va être contente, tout ce petit monde est déjà en érection à la vue de la tenue de Karine. Outre la bite de Florent et de Julien celle d’Alain est impressionnante tant en longueur qu’en épaisseur.
— Si je peux m’exprimer, j’aimerais bien commencer par sucer Alain.
— Mais ne t’inquiète pas, tu les auras toutes les trois.
Karine s’agenouille devant Alain et comme elle a l’habitude de pratiquer commence lentement à lui caresser les couilles, décalotte bien le gros gland et enfourne le pieu dans sa bouche en le mordillant légèrement. Même une gorge profonde ne suffit pas à avaler l’engin tellement il est grand.
— Putain, qu’elle est bonne ta mère Florent.
Pendant ce temps Julien s’est positionné derrière Karine, sa queue lui caresse le dos et il lui pelote les seins sous les bonnets du soutien-gorge. Une main se dirige vers la rondelle de sa partenaire. Un doigt puis deux puis trois entrent facilement car la salope mouille tellement qu’elle a lubrifié son trou.
Lâchant la queue d’Alain, elle demande :
— Alain vient me fourrer le con pendant que julien m’enculera et toi Florent tu me baiseras la gueule.
Le mini-gang bang est en position, Karine empalée sur la bite d’Alain couché par terre, Julien enfourné dans le cul et chacun ramone frénétiquement.
— Florent donne-moi ta queue en bouche, chacun va jouir en moi, je veux tout votre foutre. Retenez-vous et prévenez pour qu’on essaye de jouir ensemble.
Vingt bonnes minutes de baise simultanée avec de brefs repos amènent nos quatre personnages à un orgasme collectif comme le souhaitait Karine.
Seul le sperme de Florent est avalé, la maîtresse de maison remet rapidement sa culotte plus large qu’un simple string pour recueillir le précieux liquide qui ne voudrait pas rester dans ses entrailles.
— Eh bien les jeunes, êtes-vous satisfaits ? Vous m’avez bien fait jouir, félicitations.
— Oh oui Madame, répond Alain, j’aimerais bien revenir pour bénéficier de tout votre corps, vos seins sont splendides et votre cul est très désirable.
— Il faudra voir ça avec Florent, c’est lui le maître.
Sur ce, tout le monde se sépare Florent restant à la maison.
Petit débriefing :
— Alors maman salope, ça t’a plu ce mini-gang bang ?
— Oui, je ne m’y attendais pas. Après une rude journée de travail (…!), j’avais surtout envie de ta queue et voir ce que tu inventerais comme soumission.
— Eh bien tu as vu un exemple. Hier je t’ai lancé le fonctionnement du mini-gode. L’avais-tu mis ?
— Oui mais j’étais en pleine réunion c’était excellent j’ai fortement joui mais ma directrice s’est aperçue de ma distraction, elle a eu peur que je sois malade et m’a convoqué dans son bureau pour la rassurer. A l’avenir, il faudrait que tu me préviennes par un texto, je risque être dans des situations délicates.
— OK, je ferai attention quand je te saurai au travail. Pour ce soir je n’ai pas d’idée, on peut dîner tranquillement et aller se reposer.
— Toi tu ne m’as pas baisée, j’ai le slip plein de sperme de tes copains et j’aurais bien aimé que tu me défonces, ma chatte est encore trempe et j’ajouterai ton jus à celui de tes copains.
— Comment veux-tu que je résiste à une telle demande ? Normalement dans le jeu de soumission, c’est le Maître qui commande mais tu m’as l’air tellement excitée.
— Penche-toi sur la table, je vais te prendre en levrette. Tu sais que j’adore voir ton gros cul. C’est vrai que ta culotte est trempe, je vais essayer d’en rajouter mais je t’ai déjà donné dans la bouche.
Florent baisse légèrement le slip de Karine, à mi-cuisses sur les jarretelles, c’est très excitant. Il bande très fort. Sans ménagement, car elle est très mouillée, il la pénètre très profondément. Karine se caresse les seins en les frottant sur le dessus de la table.
— Vas-y plus fort, je veux jouir encore, encore, ma chatte est en feu tu me rends folle de sexe, ça y est, je sens que je pars. Ahah… continue pendant que je jouis et surtout envoie-moi tout ton sperme avant de te retirer.
— Tiens salope, je pars aussi.
La quantité de liquide n’est pas très importante mais mélangée à l’abondante cyprine de Karine cela va ajouter à la mouille de la culotte comme le souhaitait la salope.
— Bon ! Ma pute de maman je crois qu’aujourd’hui tu as eu ta dose.
Et encore, Florent ne sait pas que Karine a eu une bonne partie de baise avec sa patronne dans l’après-midi !!