Elle le surprends pendant que je me fais du bien.
C’est joli de voir sa main se promener sur sa bite bandée. Il me donne envie d’en faire autant, non de l’accompagner aussi dans son plaisir.
Je tiens sa bite dans ma main, je le branle à la vitesse qu’il aime. J’ai besoin de plus, je le prend dans ma bouche. J’aime sentir son odeur fauve et son goût relevé. Le gland est doux sur ma langue. Je vais lui donner un autre plaisir que lui ai jamais offert. Je glisse ma main entre ses cuisses. Il est un peu mouillé de sueur. Je glisse lentement vers son petit trou. J’espère qu’il va apprécier comme moi. Le bout du doigt est presque contre son cul.
Je touche à peine son petit trou. Il sait ce que je vais faire et ne l’en m’empêche pas. J’avale à fond sa queue, je le suce à le faire jouir dans ma bouche, comme j’aime.
L’index est tendu, je le touche à peine. Il se détend complètement. Je ne pensais pas qu’il aimerait ce que je fais lui faire. Un ’glop’ pour le prendre au fond de ma gorge et mon doigt entre, pas beaucoup, pour ne pas l’effrayer. Ça marche bien, mon doigt entre à moitié : je le ressort un peu pour recommencer. Ça y est, j’ai mis tout mon doigt. Que j’aime enculer mon type comme j’aime qu’il m’encule.
Je sens son anus se fermer un peu pour s’ouvrir encore : il soupire lentement. Il aime ce que je lui fais. Les mouvements de son anus se transmettent à sa pine : elle grossit dans ma bouche. J’arrête de le manger pour ne pas qu’il jouisse trop vite. Je sens ses mouvements sur mes lèvres humides. Ma main a repris la masturbation que je me faisais. Mes deux mains sont occupées à son plaisir soit le sien , le principal pour le moment, soit au mien. Une petite goutte coule de sa bite. C’est bon, salé, presque comme son sperme. Que j’aime ce goût. Ma langue cesse de le lécher pour ne pas ne faire jouir trop vite. Mon soucis de linstant : faire durer le plus possible sa béatitude : j’aimerai qu’il tienne au moins une bonne demi heure. Je saurais me satisfaire de le faire jouir plus tard, de différer mon plaisir gustatif longtemps. J’ai oublié mon autre plaisir. Mon gode me contente.
Je me baise profondément avec deux doigts. C’est bon ce mouvement dans mon con. J’ai l’idée de changer le gode, légèrement plus bas, vers mon anus. : je m’encule encore une fois depuis que j’ai découverte avec une copine ce que cela voulait dire, même avec une fausse pine. maintenant. J’ai envie que lui aussi connaisse la sodomie, depuis le temps que je le lui propose. Tant pis pour mon cul, je plonge le gode dans son cul à lui. Il gémit au moment où le gode remplace mon doigt. Je me régale de voir le gode envahir son cul. C’est aussi bon que de me sodomiser moi même. Je vois son cul s’ouvrir, se refermer un peu avant que je l’enfonce encore. Et lui qui se laisse faire, qui se faite enculer par sa nana.
Il continue de se branler. Je me masturbe comme lui aussi, je l’encule. Je me laisse aller vers un puissant orgasme inconnu. J’ai des spasmes comme je ne connaissais pas du tout. Mon sexe est très serré, il se laisse aller en s’ouvrant un peu pour se refermer sur mon plaisir.
Et lui qui ne se doute pas de la masturbation que je me donne. Je ne pensais pas qu’il jouisse en se faisant enculer, portant je le lui ai mis profond. Il en sort presque le gode. Je vois ses spasmes autour de son anus. Il faut que j’y pose ma langue pour bien le sentir.
Son goût du cul, en particulier, agréable, me convient bien. Je me sens encore mouiller.
Je me tourne pour lui donner mon anus. Je voudrais qu’il le lèche aussi. il se trompe en y mettant deux doigts à fond. Elle me le fait au début avant de me faire du bien. il reprend, ses aller venues. Je lui de me dit faire comme il veut. Son tempérament de bon baiseur le guide pour mon plaisir. Il reste attirée par mon cul. C’est sa première fois, j’en profite, même s’il devient apprentie. Mais une apprenti guidée par son instinct.
Enfin il semble comprendre ce que je désire. Je sens le bout de sa langue juste sur le bout du cul. Sa salive me donne des frissons. Mon dieu que c’est dégoûtant quand ça entre doucement, que je sens la langue s’élargir dans l’anus. J’ouvre les fesses le plus possible : ses mains accompagnent mes mouvements.
Un ombre couvre notre couple ! Son copain arrive aussi. Il a des envie cachées. J’espère qu’il ma me baiser en double : j’en ai envie depuis longtemps.
Le nouveau venue ne se contente pas de mon corps. Il glisse vers mon amant. Je vois sa bite tendue passer sur le visage, sur les cheveux, sur le torse, sans qu’il ne réagisse. Il ne va pas aller vers les fesses. Vers la bites bandée.
C’est pourtant là où va il se colle à l’autre homme qui ne le repousse pas. Sa bouche remplace la mienne. Il le suce aussi bien, que dis-je mieux que moi. On dit que les homme savent mieux lécher qu’une fille. Il faut croire que c’est vrai à voir les réactions du visage de celui qui est sucé.
IL me fait gérais si je ne veux pas perde cette bite. Je me glisse entre les deux corps. Je sens une bite sur mon ventre et l’autre sur mes fesses. C’est excitant, j’en profite. Je sens d’abord la première bite passer dans la raie de mes fesses. J’ai envie de me faire sodomiser. Et l’autre passe contre mon ventre : j’ai envie de la sentir dans mon con.
Les besoins de deux mâles se transforment vite.
Je remue entre les deux corps, je les excite, ils répondent enfin. Celui du dessous vient me donner sa queue dure. Un mouvement de la main, elle est en moi, dans mon con. Je ne cherche pas tellement la seconde:je l’ai dans la main, je la mets sur la raie des esses. Elle trouve vite l’entrée de mon cul. Je promène à ressentir ce plaisir particulier des doubles pénétrations. Eux aussi sentent presque le même plaisir en se touchant les queues à travers mon ventre. Ils mon donnent deux orgasmes les vaches, un de chaque coté et un autre double.
Je suis incapable de savoir qui me baisait et qui enculait. Je suis partante pour recommencer quand ils veulent.