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Véronique au bureau – Chapitre 2

Véronique au bureau - Chapitre 2



Acte II

Et Véronique, me direz-vous ?

Dès qu’Ana avait quitté son bureau, Véronique s’activa à remettre de l’ordre sur son bureau, en glissant le legging dans un des tiroirs et pour le minuscule lycra, elle humecta une dernière fois ses narines de ce doux parfum sucré de cette glaire qui en souillée le tissus blanc. Puis le glissa dans une de ses poches du jean. Reprenant difficilement ses esprits, qu’elle en oublia le dossier qui lui était demandé. L’obligeant à revenir sur ses pas. Seule dans l’ascenseur, appuyée à une des parois, elle se sentait de nouveau excitée, ses mamelons pointaient inlassablement, au travers le tissus de son chemisier blanc, alors que son clitoris, faisait des siennes, au plus profond de ce qui n’était plus un lycra, mais une éponge, une serpillière blanche ne pouvant absorber sa glaire qui s’échappait de son volcan en éruption, ruisselante jusque sur l’entre-jambe de son jean. Yeux mi-clos, elle revoyait son début de matinée, ne se rendant pas compte que l’ascenseur était ouvert à l’étage demandé, le sous-sol.

Reprenant conscience, elle se redressa, traversa le long couloir sombre, pour se rendre aux archives. Un vaste espace, jonchée d’immense travée où était déposé les dossiers des clients. Tout au fond, un bureau où, généralement les utilisateurs venaient faire leur recherche sur l’écran disponible à cet effet. Ce que fit Véronique.

Elle toqua à la porte, avant d’entrer. A priori, c’était libre !!!

Elle ouvrit, la lumière était restée allumée, refermant derrière elle, elle vint s’installer à l’écran pour effectuer sa recherche.

Puis, en ressortit et se dirigea dans la travée correspondant pour prendre ce dont elle avait besoin.

C’était un dossier épais, et donc lourd.

Alors qu’elle allait remonter, des bruits de talons-aiguille, escarpins, au mouvement rapide des pas, elle reconnut la personne, sans l’avoir vu. Il s’agissait de notre brune, Fauve, vous savez, celle qui était dans les toilettes avec Ana.

Ah !! Vous voyez, maintenant !!

Véronique, ne bougeant plus, était à l’écoute de ce qui se passer.

Fauve

Seule, se dirigeant vers la porte du bureau que Véronique avait quitté peu de temps avant. Elle était au téléphone, ouvrit la porte, la laissant entrebâillée.

Quelle salope !! Tu l’aurais vue, ce qui me paraît bizarre. C’est que ce matin, elle portait un legging rose, et là, elle n’avait plus que sa longue chemise, qui lui faisait une micro-robe, liquette. Même pas… Elle était cul nu… Je lui ai glissé un doigt dans sa rosette, après avoir constaté que sa raie fessière était dilatée… Elle a noué ses bras à mon cou, son visage au creux de mon oreille… Et je l’ai dilatée du cul… Index et majeur… Hum !! Je me suis régalée… Non… Là, c’était devant les lavabos… Je l’ai poussée dans un des WC… J’avais tellement envie de pisser, que je l’ai faite agenouiller… Elle m’a enlevé mon jean et ma culotte… Et je me suis soulagée sur son visage… Elle avait de la pisse de partout… Excitée au max, je me suis branlée sur son visage, l’obligeant à me lécher… Une vraie chienne !!! Je ne sais pas !!! Je l’ai pas revue !! Elle doit sûrement y être, encore… En partant, je lui ai fait des éloges sur sa pratique… Je lui ai dit que j’allais m’occuper de sa promo… Je ne sais pas !!! A voir avec Véronique… Quelle cochonne celle-là aussi… Je me demande si elle ne se l’est pas faite ??? Bon allez !! Oui, vas-y voir… Dans celui de droite, à côté du lavabo… Bisous…

Véronique

Sans attendre la fin de sa conversation, elle remonta à l’étage, par les escaliers, afin de ne pas attirer son attention. Puis se rendit dans les toilettes.

Posant le dossier sur le rebord du lavabo, sur les trois cabines, une était fermée. Elle entra dans celle d’à côté.

En profita pour se soulager, attendant pour voir si ça bougeait. Dans le silence, elle devina des bruits de sanglots. Elle ne parlait pas, elle tira la chasse, et sortit, pour se laver les mains, avant de tirer la porte, faisant croire à son départ.

Patiemment, Véronique s’appuya au rebord du lavabo, en regardant dans le miroir, au cas, ou il y ait quelqu’un qui entre, pour ne pas porter attention.

Ana

Croyant être seule, et surtout, ayant suffisamment attendu que sa liquette ait séché, ouvrit la porte et se trouva face à Véronique. Les yeux rouges, écarlate de honte, baissant la tête, elle s’approcha de Véronique. Sans rien dire, partageant un long regard qui en dit beaucoup. Elle voulut ouvrir la bouche, mais, la main de Véronique l’en empêcha, puis d’un geste de tendresse, lui caressa la joue.

Véronique

Ne restons pas là !! Je sais ce qu’il t’est arrivé !!! Allons dans mon bureau !!

Alors que les deux jeunes femmes sortaient des toilettes, l’ascenseur s’ouvrit et Fauve en descendit, les surprenant se diriger vers le bureau de Véronique, où elles s’y enfermèrent. Véronique ne prenant pas le temps de porter le dossier demandé par la direction, préférant s’occuper de la petite Ana, qui elle, restait sous le choc de cette humiliation.

Restées debout, les deux jeunes femmes s’enlacèrent longuement. Le temps qu’Ana reprenne confiance.

Ana

Mais comment sais-tu ce qu’il m’est arrivée ??

Face à Véronique.

Véronique

Lui caressant le visage, d’une main de tendresse.

Eh bien, avant de me rendre à la direction, pour une réunion de service, Sabine m’a demandé de lui amener le dossier… Je suis descendue aux archives… Et alors que j’allais remonter avec mon dossier, j’ai entendu le pas de Fauve, qui ne m’avait pas vu, et qui parlait au tel… Je suis restée dans la travée, et elle, se trouvait dans le bureau, laissant la porte ouverte, pensant qu’elle était seule… Elle parlait en détail de ce qu’elle t’avait fait subir… Et lorsqu’elle a parlé du lieu, je n’avais qu’une chose en tête, venir te récupérer… Ma pauvre petite chatte !! Mais dis-moi, de tout ça, qu’est-ce qu’il t’a le plus choqué ???

Ana

Baissant la tête, un instant, avant de la regarder à nouveau.

Eh bien, ce n’est pas tant le fait de m’avoir humilié, mais c’est surtout, qu’elle m’ait abandonné comme une vieille chaussette, me laissant à la vue, sans fermer la porte derrière elle… Alors qu’avec toi, ce n’est que du plaisir… Tu me respectes… Voilà… C’est exactement ça… Elle m’a prise pour son jouet du moment… Me laissant dans ma souillure… En plus, elle m’a dit, en partant, qu’elle allait pour une promo…

Véronique

Avec elle ou sans elle, j’ai bien l’intention de t’offrir une vraie promotion, à la hauteur de tes compétences…

Ana

Un large sourire vint illuminer son visage.

Merci, Véronique !!!

Véronique

Je ne t’abandonnerai pas, ma petite chatte !!! Par contre, le cas de Fauve, elle… Je vais lui expliquer à ma façon, ce que c’est de vouloir marcher dans mes plates-bandes… En ta présence…

Ana

Elle prit un regard inquiet.

Non… Pas devant moi…

Véronique

L’interrompant.

Ne tinquiète pas… Tu vas juste faire l’appât… Tu vas rentrer dans son jeu… Tu lui donnes rendez-vous dans les archives… Tout à l’heure… En fin de journée… Laisses toi séduire… Car, elle parlait à quelqu’un d’ici… Donc, il est important de savoir qui est-ce ?? D’accord ???

Ana

Nouant ses bras à son cou, elle l’embrassa longuement, avant de lui glisser à l’oreille gauche.

J’ai trop envie de toi… Là… Maintenant…ici… Fais-moi ce que tu n’as pas eu le temps de me faire, tout à l’heure… Hum !! OK, pour ton idée d’appât…

Véronique

Elle ne pouvait lui refuser à celle, qui, allait devenir sa soubrette, sa soumise, sa chose.

Tu veux être ma chose ?? Je vais m’occuper de toi… Là… Maintenant… Je vais te faire jouir… A la hauteur de ton état…

Dans un même temps, lui dégrafant ce qui était une liquette souillée, pour la mettre nue, seulement chaussée.

Puis l’attirant jusqu’à son bureau, la couchant en travers lui repliant les jambes écartelées, offrant son ventre épilé, dilaté et trempé, puis s’asseyant dans son fauteuil de cuir, pour venir entre ses cuisses, jouant à la gynéco. Après une minutieuse auscultation de chacune des lèvres enduites de glaire toute fraîche, odorante, qu’elle lui lapa.

-Hum !! Quelle liqueur !!! Du vrai sucre !!! Je m’en enivrerai !!!

Elle la doigta de l’index et majeur, mais rapidement elle y rajouta l’auriculaire, l’annulaire, et le pouce, sa dilatation était inévitablement prêt pour un fisting. Se levant, afin de faire sa manipulation dans de bonnes conditions, se plaçant à sa droite, elle l’enfila jusqu’au poignet.

Ana

Accoudée, la tête basculée en arrière, yeux mi-clos, haletante, totalement offerte aux envies de celle qui allait devenir sa joie de vivre. Elle accompagnait le geste du fisting en venant à son encontre.

Ah !!! Oui !!! Là !! Hum !! Encore !! Oui !! Je vais jouir !!!

Véronique

La fista jusqu’à son orgasme.

Ana

Ah !! Je jouis !! Ouiiiiii !!!

Elle se cambra d’un coup de rein. Ses mamelons pointant de plaisirs.

Véronique

C’est parfait ma belle, je suis fière de toi !!! Allez !!! Je te laisse mettre ton legging, mais je garde ton lycra… Il est trop bon… Hum… Ta crème me fait mouiller…

Elle lui sortit son legging du tiroir, qu’elle lui donna, alors qu’elle reniflait à plaines narines, le minuscule lycra, sorti de sa poche.

Ana

Se redressa, l’embrassa, puis enfila son legging, avant de se rajuster la liquette tachée.

Je vais de ce pas, m’occuper de Fauve !!! Je te dis ce qu’il en est !!! A tout à l’heure, mon cur !!!

Elle l’embrassa nouveau, avant de quitter le bureau.

Véronique

Restée assise dans son fauteuil, elle regarda sortir celle, qui pour elle aussi, prenait une grande part dans son cur.

Elle eut beaucoup de mal à se concentrer sur son travail. Elle appela Sabine.

Allô !! Sabine !!! Je peux venir ??

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