Véronique se rendait à son travail, comme tous les jours. Elle était un peu anxieuse par rapport à la journée qui lattendait. Elle savait quaujourdhui, son chef de service rentrait de vacances et quil passerait la voir.
Il y a déjà 2 ans que Véronique et lui ont entrepris une relation secrète : tous deux sont mariés. Véronique est beaucoup plus jeune que son amant, près de 25 ans les séparent mais progressivement, leur complicité sest muée en désir.
La première fois est arrivée un peu par accident, durant une pause entre midi et deux heures : le repas, les plaisanteries entre personnels et un pied dhomme qui lui caressait la jambe sous la table. Elle se souvient davoir rougi mais i’avoir laissé faire. La désirait-il ? Lidée lexcitait un peu. Laprès midi même, il était venu la voir dans la bibliothèque dentreprise dont elle soccupe. La discussion, futile comme souvent, pris cependant une autre tournure quand il lui caressa lépaule. Elle sentit un long frisson parcourir tout son corps. Elle le laissa faire et il senhardit en caressant sa nuque puis en laissant glisser ses doigts vers le décolleté de cette jeune fille qui semblait peu farouche. Véronique le laissa faire et lencouragea même en se calant mieux dans son fauteuil de bureau.
Elle le regarda faire, le désir de cet homme lexcitait au plus haut point. Faire ça sur son lieu de travail provoquait en elle une envie très forte mais aussi un stress légitime. Elle se mit à toucher la bosse bien prononcée au niveau de la braguette de lhomme qui semblait bouillir ! Elle ouvrit la braguette et fit sortir le sexe de celui qui sapprêter à devenir son amant. Un sexe long et épais en sortit, pas très dur mais plein de promesses. Elle se mit à le branler doucement et, rapidement, se mit à sucer le gland qui grossit assez rapidement. Lhomme appréciait et ne cachait pas son plaisir. Cette fellation dura assez longtemps car Véronique ignorait ce que son chef voulait. Plus il durcissait, plus il pressait la nuque de Véronique en tentant denvoyer son sexe au plus profond de sa bouche. Elle eut un haut-le-cur et sen excusa.
— Véronique, mettez vous sur votre table et enlevez votre pantalon !
La phrase qui rompit le silence avec un tel impératif ne souffrait d’aucune discussion. Elle défit donc son pantalon et lôta, se retrouvant en culotte et chaussettes devant lhomme.
— Remettez vos chaussures.
Elle sexécuta, trouvant cela un peu étrange : elle portait ce jour là des chaussures doc martens, peu sexy. Il la plaça sur la table et se cala lui-même dans le fauteuil. Il écarta la culotte, laissant apparaître le sexe de la jeune femme quil allait satisfaire. Il entreprit de lui lécher le clitoris, lentement mais passionnément. Elle aimait cela et se tordait de plaisir en guidant par ses ondulations vers le point précis qui lui donnait tant de plaisir. Véronique était excitée au plus haut point en se voyant sur sa table, jambes écartées avec un homme en train de lui prodiguer une caresse magnifique.
Il sarrêta sans crier gare, se redressa et approcha son sexe des lèvres gonflées. Il la pénétraou plus exactement, comme il le dira plus tard, il lembrocha. Elle cria de surprise et de plaisir : ce sexe était devenu bien dur et sa taille imposante lui procura rapidement un plaisir agrémenté dun soupçon de douleur quelle affectionnait tant. Lhomme la pénétra sèchement, donnant des coups de reins violents. Véronique y répondait en envoyant son bassin en arrière pour prendre chaque centimètre de ce sexe mais elle dû rapidement renoncer à ce jeu car lhomme risquait à tout moment darriver à lextrémité de son vagin étroit. Véronique ne gémissait plus, elle criait son plaisir sans retenue :
— Oui, plus fort !
Elle voyait pendre ses pieds dans le vide, secoués par chaque coup de lamant, lui-même très excité par le spectacle. Il faisait courir ses mains sur le ventre et les cuisses de son employée et éprouvait un vif plaisir à la voir toute offerte devant lui.
Lhomme appréciait létat dans laquelle se trouvait Véronique et résistait pour ne pas jouir tout de suitemais lexcitation trop forte le fit littéralement exploser dans le ventre brûlant de la jeune femme. Il jouit longtemps et fortement pour le plus grand plaisir de sa partenaire. Lorsquil se retira, elle se mit à genoux devant lui et le suça lentement mais goulûment tout en caressant son clitoris afin datteindre le plaisir quelle attendait tant. Le sperme de son amant coulait vers sa main et elle le goûta. Véronique savait leffet que produisait sur les hommes le fait davaler leur semence et elle ratait rarement une occasion de leur accorder ce bonus ! Elle jouit rapidement et aussi fort quelle lavait espéré.
A peine redressée, lhomme lembrassa et lui remit sa culotte dans la main. Dun coup, gênée, elle la remit ainsi que son pantalon.
— Jadore le goût de votre sexe.
— Votre sperme nétait pas mauvais non plus, je vais avoir votre goût dans la bouche tout laprès midi.
— Cela vous gêne ?
— Pas du toutau contraire.
Il lembrassa à nouveau et partit.
Maintenant, cela faisait 2 ans que durait cette histoire, lhomme avait quasiment tout exploré delle et ne cessait de demander de nouveaux fantasmes à accomplir.quallait-il demander aujourdhui ?