Nous sommes un couple de cadres supérieurs habitant la banlieue parisienne.
Ma femme Caroline est DRH dans un laboratoire pharmaceutique, 31 ans, blonde naturelle, aux yeux bleus cachés derrières de petites lunettes rondes, très mignonne de visage, plutôt petite 1m62, et mince puisquelle pèse à peine 50 kilos. Elle a de petits seins en forme de pomme 85B avec de tout mignons tétons roses très réactifs et qui pointent très facilement à la moindre émotion où lorsque je les effleure
Elle a des jambes très fines quelle allonge encore en portant très facilement des escarpins à talons haut, et de très mignonnes fesses toutes rondes. Sa chatte toute fine est épilé soigneusement sauf une fine bande de poile sur le pubis. Enfin bref je la trouve canon et je ne suis pas le seul
De mon côté je suis cadre dans une banque, je mesure 1m75 avec un petit embonpoint, brun et je porte plutôt bien mes 32ans.
Nous sommes mariés depuis une dizaine dannées et avons deux adorables filles de 6 et 9 ans qui font notre bonheur.
Notre vie de couple est harmonieuse, basé sur le respect mutuel et la tendresse, nous faisons lamour à la « papa, maman » trois à quatre fois par mois de la manière la plus classique qui soit, et nous sommes heureux dans notre foyer.
Il y a quelques mois jai hérité de mon oncle célibataire, dune maison dans la région Orléanaise, en pleine campagne, perdue au milieu des champs de blé et de colza, entourée par des fermes et autres propriétés agricoles. Je cherche à men débarrasser mais les acheteurs sont rares.
A coté de notre propriété se trouve une grande exploitation agricole appartenant à une famille paysanne, composée de 4 frères et dune sur, ainsi que la mère, le père étant décédé depuis bien longtemps. Il y a lainé Alain 45 ans, un colosse d1m90 pour au moins 100 kilos qui dirige lexploitation et la famille. Suive ensuite Serge, Pierre, qui ont entre 35 et 40 ans, bien bâtis sans être aussi costaud, puis vient la sur, Sylvie à peine 30 ans taille moyenne brune et très effacée, et enfin le dernier, Camille, qui doit avoir 25 ans. Cest un colosse de près de 2m et plus de 100 kilos, mais qui na pas la lumière à tous les étages comme on dit. Un simplet qui ne sort jamais de la maison, tout comme la mère que je nai aperçue quune fois.
Ces gens sont des rustres avec peu déducation, très éloignés des gens que nous fréquentons à Paris, et nous ne cherchons pas à les rencontrer plus que nécessaire.
La semaine dernière, un mur bordant nos deux propriétés sest effondré nous obligeant à partir un peu en catastrophe là-bas pour le week-end, laissant les filles à mes beaux parents.
Nous avons invités les trois frères à la maison, pour prendre lapéritif et discuter du problème le samedi soir. Caroline aurait préféré ne pas les recevoir mais je lai convaincue quun peu de convivialité pourrait nous rendre service un jour et que sous leur aspect rural ils avaient sûrement de bons cotés
Ils arrivèrent donc vers 19h tous les trois apportant avec eux deux bouteilles dun alcool blanc de leur fabrication, ainsi quun salami imposant nous indiquant quil provenait des cochons de leur ferme. Ils semblaient avoir quand même un peu de savoir-vivre
Caroline les accueillit du mieux possible faisant contre mauvaise fortune, bon cur ; elle portait un chemisier blanc écru, qui cachait un caraco simple, en coton, et une jupe qui descendait aux genoux avec des collants et des escarpins à talons hauts.
Tout le monde sassit dans le salon, les trois frères sur le canapé, mon épouse et moi en face. Caroline se levant régulièrement pour faire le service, elle est scrutée du regard par Alain qui ne se gène pas pour lui mater de bas en haut. Elle le remarque et je sens dans son attitude que ça lénerve.
La conversation est dense entre le colosse, qui est le seul des trois à parler, et moi. Les 3 bouteilles de vin que nous avions prévues ont été vidées, Alain sarrangeant pour que le verre de mon épouse et le miens soient remplis régulièrement, si bien que je commence à perdre le fil de la négociation et lui consent beaucoup de concessions. Nous finissons donc par aboutir à un accord qui le ravi et le met de très bonne humeur.
« Ha voisin !!! Ça fait plaisir de discuter avec des gens comme vous !! Nous allons fêter cet accord et vous faire goûter ce breuvage » dit-il en brandissant les deux bouteilles quils ont apportées
Je ne me sens pas de consommer encore de lalcool, mais je nose pas briser son enthousiasme Caroline qui na pas lair très fraîche non plus me regarde avec un regard réprobateur et me fait signe de la suivre dans la cuisine tandis que les frères commencent à déboucher leur liqueur.
« -Bon la discussion est finie, vous êtes parvenu à un accord, jaimerais bien que la soirée se termine, jen ai marre de leur yeux baladeurs, jai limpression dêtre toute nue vu comme ils me regardent
-Chérie cest bientôt fini, on boit un dernier verre et je les met dehors gentiment. Ils ne sont pas méchants, juste en manque de femme aussi belle que toi. Dans les environs ça ne doit pas courir les champs »
Alors que je reviens japerçois dans le miroir du salon un des frères finir de vider une petite fiole dans mon verre et la remettre prestement dans sa veste. Que veux dire cette attitude, que veulent-ils ?
Les sens en alerte, ne sachant comment ils réagiraient, je décide de ne rien dire et de ne surtout pas boire ce verre. Je profite du retour de Caroline qui capte tous leurs regards pour jeter discrètement mon verre dans la plante à côté.
« Tu as déjà vidé ton verre et ben tu as une bonne descente mon gars !! Reprends en un autre !!! Et vous ma petite dame ! Allez !! On fait cul sec comme votre mari !!!… Allez !!! »
Jaccepte un autre verre, préférant finir bourré quempoisonné par je ne sais quoi, pendant que Caroline les larmes aux yeux, ingurgite cette mixture qui doit bien faire 45°
La soirée se prolonge les trois frères rigolant, commençant à raconter des anecdotes grivoises sur les murs du village et sur leurs aventures avec les personnalités de la région. Nous apprenons que linstitutrice du village vient très souvent à leur ferme et quils ne se privent pas de lui faire sa fête comme ils disent et de lui élargir les orifices régulièrement.
Caroline, rougit devant de tels propos mais ne dis rien .
Ils en profitent pour remplir très souvent le verre de ma femme, lincitant à trinquer avec eux, en observant du coin de lil comment je me sens.
Je décide de jouer les drogué et fais semblant de commencer à somnoler on verra bien ce qui va se passer et il sera toujours temps dintervenir si jamais la situation dégénérait.
Croyant que je ne suis plus en état Alain sapproche de mon épouse qui est maintenant saoule, sassoit a coté delle sur le fauteuil et lui dis
« – dis-moi ma belle, tu es bien a mon goût, tu me file la trique depuis que je tai aperçue. Je rêve de te culbuter, montre nous un peu tes trésors
-non mmais çça va pas !!… » répond-elle dune voix pâteuse « Thomas !! Dis quelque chose… !!
-Je crois que ton petit mari nest plus en état de dire quoi que se soit ma chérie mais rassure toi la famille va soccuper de toi cette nuit tu vas voir je suis sûr que tu vas adorer nos grosse bites » Reprend-il en ouvrant son pantalon imité par ses frères
Il sort un énorme serpent veiné, qui bien quencore au repos, est déjà bien plus gros que mon sexe. Il pend jusqu’à la moitié de ses cuisses et se termine par un gland gros comme une prune. Les deux autres bien que moins bien membrés ont des sexes imposants.
« -Enlève moi ça et montre nous tes petits nichons » dit-il en commençant à lui retirer son chemisier
Je mapprête à intervenir voyant que les choses vont trop loin, lorsquun détail marrête : déjà elle ne résiste que très peu le laissant déboutonner et enlever son vêtement très passivement, sans doute nest-elle plus en état de résister vu son état mais surtout le caraco dévoile les pointes de ses seins toutes érigées.
Ma femme serait-elle troublée par ces porcs même si elle tente faiblement de reprendre le dessus et darrêter son déshabillage
Je suis à cet instant terriblement indécis craignant le viol de Caroline, alors que de lautre côté un de mes plus grand fantasme, la voir faire lamour avec un autre, prend forme sous mes yeux
Trop excité pour intervenir je continue à faire semblant de dormir ne perdant pas une miette de laction qui se déroule devant moi
« – Hé vous avez vu les mecs cette salope à lair dêtre excitée par nos queues
-A moins que ce soit ce quon lui a raconté sur ce quon fait à linstitutrice
– Où alors cest les deux à la fois »
Les trois garçons entourent caroline et continue de lui enlever ses vêtements, elle tente de se défendre mais trop mollement pour les décourager. Alain la fait se lever du fauteuil, et passe derrière elle pour défaire sa jupe
« nonpas ça » Dit-elle faiblement en échouant à retenir le vêtement qui tombe au sol
Très vite le collant suit le même chemin que la jupe, Alain insistant pour quelle remette ses escarpins afin de continuer à « faire salope ».
Les mains baladeuses passent sur ses tétons les faisant pointer encore plus, Caroline à du mal à respirer
« -Sil-vous-plaîtArrêtez »
Alain passe alors la main sous sa culotte
« – ça fait sa mijaurée mais elle est trempée cette pute blonde Tu va te faire défoncer toute la nuit salope ça va te changer de ton mari tu vas avoir trois grosses bites pour toi toute seule hein salope tu veux ?
-Nonlaissez moi » Dit-elle sans conviction car Alain commence à lui pincer le clito
« – Aie! » Elle se tortille pour se dégager mais il tient fermement sa prise et au bout dun moment, à ma grand surprise, elle se laisse malmener et semble apprécier cela
« – tu commences à aimer ça salope Je men doutais, dès que je tai aperçue. Jai le flaire pour renifler les soumises même chez celles qui nen sont pas consciente. Tu vas pas être déçue du voyage, je te le garantie. Allez- y les gars vous pouvez lui faire les trous !! Et toi suce moi salope. »
Alain sest relevé et présente son énorme bite devant la bouche de ma femme qui regarde avec effarement ce membre qui maintenant érigé, à la taille et le diamètre dun étalon. Cest bien évident quelle na jamais vu dengin de cette taille et elle ouvre des yeux ronds devant une telle énormité. Alain nen a que faire, et lui prenant les cheveux, il lui entre en force son gros gland dans la bouche, puis savance pour senfoncer.
Caroline a la bouche déformée, et manque de sétouffer devant lengin de taille disproportionnée.
Les deux frères en ont profité pour lui ôter sa culotte et soulever son caraco et dévoiler sa poitrine dont les pointes sont dures comme des mines de crayon. Ils ne se privent pas de les pincer et commencent à la peloter durement, lui enfonçant des doigts dans la chatte. Deux et bientôt trois prennent possession delle coulissant brutalement sans quelle ne fasse rien pour empêcher ça, trop occuper à essayer davaler la bite dAlain.
Celui-ci a réussi à lui enfoncer presque 20cm au fond de la gorge et commence à coulisser en elle. Elle bave tousse et essaye de respirer, des larmes coule sur son visage faisant couler son Rimmel.
Soudain elle pousse un cri bref Serge vient de lui enfoncer violemment sa bite dans la chatte commence à forcer sur ses chairs douloureusement.
« – Vas salope tu va prendre mes 23cm tout au fond !!! Ça doit te changer des petite bites ça télargie hein petite pute !!! »
Sous la poussée ma femme se cabre et petit à petit, je vois la bite senfoncer profondément dans sa petit chatte, déformée par lintrusion et pleine à craquer. Il progresse, pour finalement senfoncer complètement au fond et venir buter contre son pubis.
Je me demande comment elle a pu absorber une telle taille elle qui est habituée a mes 15cm et a un diamètre bien inférieur
Sans se préoccuper de Caroline, il commence un rapide va et vient percutant fortement au fond de sa matrice. Entravés au départ, ses mouvements sont maintenant de plus en plus aisés me laissant penser que la chatte de ma femme commence à sadapter au gros boudin qui la défonce, la queue qui ressort presque totalement avant de se renfoncer au fond est maintenant luisante des sécrétions de ma chérie Au bout de longues minutes le rythme de Serge devient de plus en plus saccadé, il ahane, sur le point déjaculer et senfonce tout au fond de sa chatte pour lui arroser la matrice
« -Aah salope tu es bonne !!!…. »
Il se retire laissant son sexe béant comme jamais je ne lai vu, et dégorgeant une quantité abondante de foutre épais.
Alain qui est ressorti de la bouche de ma femme lorsque son frère a commencé à la percuter férocement lui tend un verre de gnôle.
« -Allez ma chérie fais cul sec, tu vas avoir besoin de force la soirée ne fait que commencer.
Il la force à avaler un puis deux verre en lui pinçant le nez, la saoulant encore plus, faisant sauter les dernières pudeurs qui pourraient rester à Caroline, puis il la porte sur le canapé ou il lallonge en lui relevant totalement les jambes pour bien dégager son entrejambe.
Pierre en profite pour enfiler sa queue dans sa bouche pendant que les deux autres soccupent de ses seins et de ses orifices.
Ils recommencent à lui mettre des doigts, partout dans la chatte. Je vois entrer jusqu’à quatre doigts sans aucun problème, les deux hommes testant son élasticité interne en écartant leur doigts, je vois ainsi lintérieur de sa chatte jusquau col de lutérus quils tripotent en rigolant. Alain profite que ses doigts soient couverts de foutre pour aller explorer plus basil badigeonne le petit trou vierge de ma femme avant dy enfoncer une première phalange. Caroline ne semble pas réagir à lintrusion, complètement soumise à leurs désirs, elle offre tout. Le doigt senfonce progressivement jusquau fond, ressort pour replonger plusieurs fois. Lorsque le mouvement devient plus aisé il en rajoute un deuxième, puis un troisième
Lanus de Caroline est maintenant bien élargi, elle semble dailleurs maintenant réagir à la puissante pénétration dautant que Serge lui doigte aussi la chatte de plusieurs doigts. Ainsi sollicitée des deux cotés, une grande première pour elle, mon épouse commence à donner des signes évidents de plaisirs, et bientôt, commence à haleter pour finalement avoir un premier orgasme déclenchant lhilarité des trois hommes
« – les gars je crois quon a trouvé une perle, on va bien séclater avec notre nouvelle voisine !!! Hahaha !!!!… »
Pendant de longues minutes ils vont jouer avec ses trous, se faisant sucer, lui baisant la chatte ou lui doigtant le cul, la faisant jouir à plusieurs reprises, tout en continuant à la faire boire
Au bout dun moment, Alain la plaça à quatre pattes lui faisant relever son cul, la faisant se cambrer et pointa son énorme queue contre son petit trou. Il commença à enfoncer le gland dont la taille semblait encore bien trop importante malgré le passage de ses doigts. Caroline voyant lintrusion essaya de se dégager, en vain, et ouvrit la bouche sans quaucun cris ne sorte alors que le membre essayai de forcer le passage. Au bout de quelques secondes, sous la pression, le sphincter céda et le gland pénétra senfonçant de 15 bons centimètres. Caroline hurla en se faisant dépuceler lanus mais Alain nen avait cure et il continua à senfoncer encore jusquau deux tiers de sa longueuril fit ressortir totalement son sexe pour le replonger immédiatement provocant un autre cri de douleur de Caroline. Il recommença la manuvre plusieurs fois Petit à petit les cris de Caroline sestompèrent, laissant place à des plaintes plus rauques venant du fond de sa gorge, que je ne lui avais jamais entendu pousser et qui dévidence nétaient pas dues à la douleur Dailleurs son anus commençait à béer, et restait ouvert même quand la bite dAlain ressortait, et la pénétration devenait de plus en plus aisée ne rencontrant plus aucun obstacle.
Cependant si le diamètre ne posait plus de souci, la longueur en posait encore. En effet Alain enfonçait environ 20 cm dans son cul, il bloquait au niveau du sphincter et il narrivait pas à aller plus loin.
« – je veux lui casser le cul à cette pute et je ne vais pas me laisser emmerder par son trou récalcitrant !!! Passe-moi le beurre. !!! »
Alain pris un bon morceau de beurre, lui posant sur lanus puis repositionna son gland, il sen servit pour enfoncer le bout de matière grasse et le pousser vers le fond de son rectum. Arrivé au point de blocage, il recommença a pousser, sans réussite au départ, puis tout dun coup les dix centimètres restés dehors disparurent au fond du cul de caroline qui poussa un couinement de jouissance et de douleurs mêlées.
Arrivé à ses fins, Alain savourait sans bouger laissant ma femme shabituer au corps étranger puis il se mit en mouvement lentement, prenant soin de toujours se renfoncer totalement pour assouplir le boyau récalcitrant.
Caroline était méconnaissable, bouche ouverte mais muette, devant cette sensation nouvelle et qui bouleversait tous ses sens, sentant monter quelque chose dinconnu le long de sa colonne, quelque chose qui allait bientôt la faire hurler de plaisir. Les cris rauques recommencèrent à sortir de ses lèvres, de plus en plus forts au rythme de la cadence et de lamplitude des mouvements de la bite dAlain qui ressortait de plus en plus loin avant de replonger dans ses profondeurs anales
Il commença à la pilonner de plus en plus violemment ressortant parfois de son anus qui formait maintenant un rond dun diamètre de plus en plus large, puis replongeait pour senfoncer sans résistance jusquau fond de ses intestins.
Caroline sembla entrer en transe, se mis à hurler sa jouissance en se cabrant, un liquide transparent se mis à gicler de sa chatte tandis que le paysan redoublait dardeur ; puis elle retomba inerte, comme une poupée de chiffon se laissant démolir le cul.
Alain se mis à rugir et commença à éjaculer tout au fond de son cul. Pendant un temps qui me parut très long, il se vida, lui remplissant le cul sans discontinuer.
Puis enfin, il se retira laissant un trou béant de la taille de mon poing, doù séchappait son sperme, mélangé au beurre
Se fut le signe quattendait Pierre pour la prendre enfin alternant la chatte et le cul semblant nagé dans ses orifices malgré son pénis de taille imposante, pour jouir sur ses seins au bout de quelques minutes. Il recueilli son sperme avec ses doigts quil donna à lécher à Caroline, lui ordonna davaler ce quelle fit.
Les trois hommes continuèrent ainsi pendant au moins deux heures à la doigter, la baiser, lenculer, sans quelle ne refuse quoi que se soit, la faisant boire quand eux buvaient, la faisant jouir et crier de multiples fois. Ils rigolaient de la béance de ses orifices, disant que ce nétait quun début, samusant à tourmenter son clitoris jusqu’à son orgasme, létouffant avec leurs bites, lui jutant dans la bouche, ou sur ses lunettes, quils lui faisaient lécher, faisant rougir les fesses à force de les claquer. Elle avala ce soir là beaucoup de foutre, pur ou mélangé à ses secrétions vaginales ou anales
A un moment ils lui firent subir ce quils appelaient « lascenseur anal » : Lun des hommes était allongé, alors que les deux autres portant Caroline, chacun une main sous une aisselle, et lautre derrière le genou la maintenaient en position assise cuisses écartelée au dessus de lui, et descendaient, jusqu’à la positionner le gland contre son anus. A peine celui-ci était-il engagé dans son cul, ils laissaient brutalement Caroline retomber et sempaler sur la bite. Puis ils remontaient pour de nouveau la refaire chuter.
Ce jeu dura longtemps, ils jouèrent tous les trois le rôle du pourfendeur. Le corps de ma femme était couvert de chaire de poule devant tant de jouissance, elle haletait et criait son plaisir malsain allant au devant des pals qui lui ouvraient les fesses de plus en plus profondément. . .Puis sous les assauts dAlain sa chatte « éjacula » une seconde fois et elle retomba inerte, comme épuisée par tous ses orgasmes.
Ils continuèrent ce jeu avec tout ce qui leur tombait sous la main, alors quelle se laissait tout faire, totalement amorphe et soumise à leurs plaisirs pervers. A un moment Alain parti a la cuisine et revint avec un panier remplis dun assortiments dobjets :, fruits et légumes divers, concombre, courgette etc, le salami, et dautres objets variés, et, le posant devant elle il lui demanda den choisir deux, qui allaient être ses « prochains amants ».
A ma grande surprise, Caroline ne protestai pas et regarda le panier. Elle choisi une petite courgette, puis sembla hésiter pour désigner en rougissant le gros salami
« -Hum tu commence à apprécier les gros calibres ma chérie, cest bien tu va être servi, tu vas aimer »
En fait, ce petit jeu ne servait quà lhumilier, car tous ce quil y avait dans le panier lui fut enfoncer dans la chatte ou le cul
Le Salami fut le premier à la faire crier rapidement, après quelques aller-retour dans son cul. Plus étonnement, deux gros citrons avec lesquels les 3 hommes samusèrent un long moment, la firent jouir fortement des deux cotés.
Enfin rassasier, ils finirent par la laisser en paix et songèrent a partir se coucher.
De mon côté, je faisais toujours semblant de dormir, mais javais éjaculé de nombreuses fois, sans me toucher rien quen assistant a la débauche perverse de Caroline, et surtout en métant aperçu du plaisir quelle avait eu à être forcée et soumise à ces trois paysans.
Rhabillés,les trois frères sapprêtaient à partir, quand Caroline me voyant toujours amorphe leur demanda de laider à me monter dans la chambre. Laissant ses deux frères repartir à la ferme, Alain, me souleva sans effort, et me porta suivant ma femme toujours nue dans les escaliers, jusqu’à notre chambre.
A un moment, il saperçu de létat de mon entrejambe, me regarda bizarrement, puis eu un sourire moqueur et pervers à mon attention. Je su alors quil avait compris
Sans rien dire, il me déposa sur le lit, me poussant délicatement sur un côté, puis il se saisit de Caroline, toujours aussi docile, et la positionna a quatre pattes les fesses en direction de mon visage. A quelques centimètres de la scène je pouvais tout observer en gros plan.
Il la fit se cambrer, lui écartant les cuisses, et les fesses, me permettant de voir de prêt, ses deux trous rougis et encore bien éclatés
« – Ça tas plu hein salope de te faire défoncer de tous les côtés par des grosses bites, ça te change de la petite bite de ton mari hein ? Réponds !!
-Oui ça ma plu
— Tu es notre pute maintenant, notre sac à foutre tu mappartiens salope » Dit il en commençant à lenculer sous mes yeux
« -ouuuuiiiii . !!!!… »
Il la sodomisa pendant au moins 20 minutes, senfonçant de toute ses force dans son cul offert plongeant ses 30 cm de chair au font de son rectum, lui ouvrant encore le cul, alors quelle ne sarrêtait plus de jouir.
Enfin il parti, en se retournant pour me faire un clin dil.
Caroline, resta un long moment sans bouger pour reprendre ses esprits, me jetant un coup dil pour voir si jétais toujours endormi, puis passa un long moment à la salle de bain pour se doucher. A un moment, je lentendis pleurer, et jeu des remords de lavoir laisser entre leur sales pattes.
Quand elle vint au lit je failli la prendre dans mes bras pour la consoler, mais je fis encore semblant de dormir.
Plus tard dans la nuit, je fus réveillé par ses gémissements, et je la vis se branler le clito, trois doigts enfoncés dans son cul puis elle descendit chercher le salami, quelle senfonça en entier dans le rectum puis repris sa masturbation Je fini par sombrer dans un sommeil peuplé de par les images de cette folle soirée…
Le lendemain, lorsque je me réveillai, elle était déjà en bas en train de saffairer dans le salon. Elle semblait en bonne forme, plus aucune trace de ce qui sétait passé le veille ne subsistait.
« – Bien dormi ? »me lança telle joyeusement
« – heuoui et toi, jai limpression que jai un peu trop bu hier
— Ça cest sûr mon chéri, heureusement quAlain était là, sinon tu aurai dormi sur le fauteuil. Ils sont charmants finalement ces types »
Aucune allusion à la soirée, aucune trace sur son visage de tout ce quelle avait subit la veille
Plus tard dans la matinée, elle mannonça quelle allait voir les voisins qui lui avaient proposé gentiment de lui donner des ufs et du fromage.
Elle revint plus dune heure plus tard, des cernes bistres marquaient ses yeux et elle navait plus de soutien-gorge
Elle prétexta lodeur forte des écuries, pour aller prendre une douche
Passant derrière elle, je ne vis aucune culotte dans le panier de linge sale
Le dimanche passa calmement et nous repartîmes en direction de Paris en fin daprès midi.
Le soir venu, alors que nous faisions lamour, je la positionnais en levrette sans quelle ne dise rien, et je pu la baiser en admirant son anus qui nétait pas encore totalement refermé