En préambule, il faut préciser que ça fait maintenant un peu plus de 2 semaines que ma maîtresse ne m’a pas vidé et tout autant que ma petite bite est maintenue sous clé. J’aborde donc vendredi soir ce week-end en parfaite condition de frustration intense. Au programme vendredi soir, en guise de mise en bouche, l’installation de la grande pointe dans ma cage: de quoi me passer immédiatement l’envie de bander, ou de le faire au dépend de ma petite queue. Avec la petite pointe, je peux bander presque à plein régime, c’est un peu douloureux mais largement tolérable. Avec la grande, pas question, si bien que ce dernier plaisir m’est simplement refusé.
Une fois la pointe installée, sans oublier auparavant de me laisser deviner quelle lingerie elle porte sous sa petite robe noire, elle me laisse pantois pour passer la nuit avec L. Pas son meilleur amant, mais une bonne entrée en matière pour me rendre dingue. Elle me quitte donc non sans me laisser un peu de travail, à savoir une lessive à la main de toute sa lingerie, pour dit-elle: "avoir le choix dimanche soir…". A ce moment là, je réalise que le week-end ne fait que commencer. Après la dite lessive, une bonne douche et un petit film en solo bien sage, je me couche pour l’attendre. Son retour ne tarde pas, L étant généralement un peu court à son goût, question temps notez, sa queue étant tout de même bien sûr plus grande que la mienne. Et encore faut-il préciser que pour quelqu’un de court, il l’a tout de même baisée quatre fois, me chuchote-t-elle à l’oreille en me saisissant les couilles. Et tout autant s’est-il répandu qui sur son visage, qui sur ses seins, qui sur son cul, qui au fond de sa gorge: je l’apprends juste avant qu’elle n’enfouisse mon visage sous son cul et mes couilles dans bouche. Je découvre là encore que pour quelqu’un de "court", la queue de L a fait son effet sur la chatte de ma maîtresse et je me délecte de l’odeur mélangée de sperme et de cyprine, une bonne odeur de bite en somme. Quand à la lente succion entreprise par ma femme sur mes bourses, je vous laisse en deviner l’effet sur ma pauvre petite nouille: la grande pointe se rappelle à mon bon souvenir ! Entre deux gémissements, l’un de douleur et l’autre de plaisir – ceux qui n’ont pas été encagés durant 2 semaines n’auront jamais le plaisir de comprendre ce qu’un coup de langue sur une couille peut signifier- entre deux gémissements donc, il ne me reste plus qu’à choisir entre l’implorer de continuer ou de cesser: je la supplie de continuer sans hésiter, la pointe me déchire la queue, mais je prends mon pied en la butinant comme un forcené. Tout cela se termine par un puissant orgasme pour elle et un indescriptible nud à l’estomac pour moi. Mais quel bonheur…
Samedi se passe dans l’attente de la soirée, qui, elle l’a promis, sera mémorable. Ma petite bitte molle est un peu tiraillée par la grande pointe mais c’est supportable. Le soir elle me somme de préparer mon cul et je frétille de joie à l’idée de la pénétration. L’encagement a sur moi cet effet troublant de me transformer en lopette assoiffée de queue… Après un bon lavement et une bonne douche, me voilà à disposition de ma chère et tendre. Tendre justement, oublions cet adjectif pour ce soir, elle me ligote aussitôt sur le lit et m’abandonne en laissant traîner non loin de moi bien en vue le fouet, vieil "ami" un peu oublié ces derniers temps. Le temps passe, une demi-heure, une heure, je ne sais plus. Enfin la clé tourne dans la serrure, mais la visite est de courte durée, une simple vérification de mon état de santé. La porte se referme et me revoilà à compter les secondes. Je peine à respirer, à force de contorsions, je trouve une position plus confortable, mais le temps coule toujours plus lentement, elle a aussi ce pouvoir d’en épaissir la consistance et de le pimenter, de l’alourdir de menaces, toujours ce fouet qui me nargue. Je finis par somnoler. La lumière crue du plafonnier me tire de cette demi-conscience. Elle me fait remettre dans ma position initiale, à plat ventre. S’en suit une longue, une lente et progressive flagellation de mon cul. Elle s’applique à frapper juste, elle prend le temps d’ajuster sa position, allant même jusqu’à en soigner la mise en scène: une main sur la hanche cambrée à l’excès, le regard dur. Elle me frappe ainsi jusqu’à m’arracher un cri de douleur quand les bouts des lanières de cuir viennent cruellement blesser la peau fine des hanches. Vient alors le tour de mon petit trou qu’elle tartine généreusement de lubrifiant pour m’introduire un puis deux doigts. Après deux semaines de privation, ma prostate réagit au quart de tour. Elle obtient rapidement ce qu’elle désire: me voir couiner comme une salope en mordant l’oreiller. Avant que le plaisir soit trop grand, elle cesse sans autre forme de procès la caresse et m’abandonne encore pour aller prendre une douche. J’en bave de frustration.
A son retour, elle enfile sans mot dire le gode-ceinture, un généreux 5×20 aussi noir que cette nuit de décembre. Par devant ou par derrière, elle me baise avec délice, elle excelle dans la pénétration lente, varie l’angle d’attaque et alterne sournoisement tendresse et pilonnage presque industriel. Je me pâme dans l’oreiller, je ressens ses coups de butoir jusqu’au bout de ma petite bite qui reste toujours bien molle quand je suis pris par le cul. Alors qu’elle me défonce littéralement le cul en levrette, je vois quelque gouttes de foutre se pendre au barreaux d’acier de ma cage ! C’est la première fois que ça m’arrive. Ma petite queue coule honteusement, la voie étranglée d’émotion mais aussi et surtout par l’intensité des assauts de ma maîtresse (louée soit son endurance !), je l’en informe aussitôt. Ce qui me vaut d’être gratifiée d’un "Bon cocu ! Tu aimes ça quand je te fais couiner comme un salope ? hein ?". Suffoquant d’excitation, à sa demande je me retourne pour fourrer 3 ou 4 doigts dans sa chatte assoiffée de queue. Tandis que ce faisant, je lui lèche délicatement le téton comme elle l’exige sans plus avoir à le demander, je regarde ma divine maîtresse les yeux fermés et la chevelure rejetée en arrière se branler sourdement en imaginant déjà, je le sais, l’immense queue de E qu’elle a rejoint à l’instant, me laissant ce soir dans l’attente de son retour tout le loisir de vous faire part de ce week-end tout à fait digne d’un cadeau de noël quand on est comme moi, un cocu soumis et comblé.