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Week-end entre amis qui dérape – Chapitre 1

Week-end entre amis qui dérape - Chapitre 1



Nous étions cinq à partir en Ardèche ce week-end là, dans le but d’échapper à la canicule qui régnait à Lyon ce mois de juillet. Sébastien, un copain de Florent (en couple avec ma meilleure amie Emilie) nous avait invités pour un week-end détente dans la maison de ses parents qui étaient partis en vacances. Emilie voulait profiter de l’occasion pour me présenter Michael et me faire sortir de mon célibat qui commençait à durer. Sébastien nous attendait donc sur place (il était arrivé à la villa quelques jours avant) et nous avions fait la route avec Florent qui conduisait et Emilie qui jouait au copilote à ses côtés. J’étais installée à l’arrière à côté de Michael qui n’hésitait pas à se coller exagérément sur moi dans les virages. Je n’étais pas fanatique de ces plans «présentation de copains» mais je voulais faire plaisir à mon amie et le garçon s’avérait en fait plutôt charmant. Emilie et Florent n’arrêtait pas de me seriner sur mon célibat depuis quelques temps et ne comprenaient pas que je puisse être seule depuis si longtemps (jolie comme j’étais d’après eux).

La réalité c’est que j’avais eu un gros coup de coeur pour Florent quand Emilie me l’avait présenté et que je n’arrivais pas à me le sortir de l’esprit. Bien sûr aucun des deux ne s’en doutaient et par égard pour mon amie, je gardais mon attirance bien secrète! J’avais souvent surpris le regard de Florent s’attarder sur moi. Plusieurs fois son regard s’était longuement fixé sur ma poitrine bombée. Une autre fois, il avait involontairement émis un sifflement quand il m’avait vue pomponnée et moulée dans une magnifique robe noire dos nu avant une soirée. Son regard s’était un peu trop attardé sur ma chute de reins dénudée et il m’avait semblé voir un éclair de jalousie dans les yeux d’Emilie. N’étant pas une briseuse de ménage, j’avais préféré penser que je me faisais des idées et avait décidé de tourner la page sur cette attirance et rencontrer un homme qui serait tout à moi.

Lorsque nous arrivâmes, Sébastien nous attendait devant la maison et nous aida à décharger la voiture. Emi m’attira immédiatement de côté, laissant les garçons s’occuper du déchargement et me glissa :

J’ai vu comment Michael te dévore des yeux, c’est dans la poche !

Mais non n’importe quoi !

Je l’ai vu ! Il a bloqué sur ton cul pendant que tu te penchais dans le coffre pour sortir ton sac ! J’ai cru qu’il allait te sauter dessus, t’arracher ton mini short et te sodomiser devant nous!

Sois pas vulgaire Emi !

Apéro bien arrosé, barbecue, l’ambiance était à la fête. La soirée était bien avancée et nous buvions plus que de raison. L’alcool commençait à faire son effet. Il faisait chaud et j’avais revêtu une jupe moulante qui m’arrivait à mi-cuisses et un top dos nu décolleté sans soutien gorge. Michael me regardait tellement que j’en étais presque gênée. Il ne manquait pas une occasion de m’effleurer. La main sur mon épaule pour me proposer un peu de vin. La main tellement bas sur mes reins qu’elle était presque sur mes fesses. Je jouais à son petit jeu de séduction avec plaisir. Je n’avais pas eu de sexe depuis longtemps et surtout les oeillades jalouses de Florent m’encourageaient à le titiller ! Presque ivres nous avions décidé de finir la soirée devant un bon dvd.

Emi qui devenait très coquine quand elle avait bu, n’arrêtait pas de se coller à Florent et l’embrasser langoureusement. Ils avaient pris place sur le canapé, lovés l’un contre l’autre. Michael m’invita à m’asseoir sur ses genoux sur un fauteuil une place. Je préférai prendre un pouf. Sébastien fit de même.

Installé, Michael lanca le dvd avant même d’avoir choisi un film afin de vérifier que le lecteur était bien branché. A la stupéfaction générale, la télé s’alluma sur une scène porno: une blonde en plein gang bang se faisait prendre par tous les orifices par plusieurs types excités. Sébastien mortifié voulut attraper la télécommande pour éteindre et Michael mort de rire ne voulait pas la lui rendre. Je jetais un coup d’il au couple et m’aperçut qu’Emi, scotchée devant la télé, ne perdait pas une miette de la scène.

Pendant que les garçons se battaient, il me vint à l’esprit de me lever pour éteindre directement le dvd mais Emi me fit signe de ne rien toucher. Emoustillée, elle regardait en salivant la blonde s’enfiler une bite dans la bouche et une dans le derrière. Elle dissuada Sébastien (complètement mortifié) d’éteindre le dvd. Ivre, elle grimpa à califourchon sur Florent allongé sur le canap’ et se mis à frotter sa chatte sur sa bite bien bandée. J’avais aperçu la bosse volumineuse de Flo quelques secondes auparavant et je l’avais regardée avec envie. Je m’étais imaginée descendre sa braguette pour prendre son engin en bouche. Une pincée de jalousie me ramena à la réalité à la vue d’Emi chevauchant l’homme de mes rêves. Sa jupe se soulevait et laisser apercevoir son cul divisé par la ficelle de son string. Florent qui avait surpris mon regard voulu convaincre Emi de monter dans la chambre pour la pistonner en toute intimité. Complètement bourrée, elle rit et resserra ses genoux autours des hanches de Flo.

Sébastien s’excusa d’avoir oublié de vérifier le contenu du lecteur et tenta de nous faire croire que le dvd était à son père. Michael lui dit qu’il n’y avait rien de mal à se mater un bon film de boules de temps en temps. Quant à moi, gênée par la situation, j’avalai ma Vodka Tonic d’un trait. Emi et Flo semblait nous avoir complètement oubliés et je crus avoir une hallucination quand je vis Emi se faire ramoner la chatte par la bite de Flo qui avait ouvert sa braguette. Celle-ci toujours vêtue de sa jupe, avait écarté la ficelle de son string pour accueillir sa queue et croyait leur coît dissimulé sous la jupe.

Qu’est ce qu’il y a petite chérie, tu rougis me dit Michael

Il se leva et me banda les yeux de ses mains pour me taquiner.

Voilà comme ça tu ne vois plus rien ma douce !

Assise sur mon pouf, il était debout derrière moi. Ma tête était à la hauteur de son bassin et quand je me débattis pour qu’il me lâche, ma joue rencontra sa queue bien dure. Apparemment, le film et les ébats du couple impudent ne l’avaient pas laissé indifférent. Il pivota et se plaça devant moi de sorte que ma bouche se trouvait à quelques millimètres de sa braguette.

Je me levai d’un bond.

Bon je vais me coucher!

Il m’enlaça, collant sa queue au plus près de mon entrejambe, la main sur mes fesses fermes et rebondies.

Attend, pas tout de suite, tu veux que je vienne te border ? Il m’avait pas menti Florent, tu es sublime. Tu es bonne ! Tu… hummm j’ai trop envie de toi ma belle.

Je sentais ma volonté faiblir et mon excitation grimper. La vodka était en train de faire fondre mes dernières inhibitions. Flo et Emi baisaient sur le canapé sans plus se cacher. Le film allait bon train avec la blondasse aspergée de sperme sur le visage. Seb, spectacteur de toutes ces scènes, sirotait son verre, la main posée sur son entrejambe gonflé.

Les caresses de Michael se firent plus impérieuses, pressantes. Il relevait ma jupe, frottait sa queue contre ma chatte. Il sortit un de mes seins et se mit à en lécher la pointe. Je n’en pouvais plus! Grisée, je finis par craquer et descendis jusqu’à son bassin puis ouvris sa braguette. Je me mis à le sucer avec déléctation. Mes lèvres faisaient des allers retours bien énergiques sur son sexe dur et bien bandé. Au bord de la jouissance, il me releva et me plaqua sur la table de la salle à manger. Mes seins étaient écrasés sur la table et ma croupe lui étaient complètement offerte. Il remonta ma jupe et déchira mon string et me pénétra sans plus attendre avec violence. Ses mains écartaient mes fesses, il me donnait de temps à autre de petites claques pendant que je recevais des coups de bite vigoureux. C’était bon !!! Sébastien, à la vue de la scène, perdit aussi ses dernières inhibitions et se mit à se branler. Je lui fis signe d’approcher. Il se plaça de l’autre côté de la table près de mon visage. Et c’est ainsi que pour la première fois de ma vie, je pris une bite dans ma bouche et une autre dans ma chatte dégoulinante. C’était exquis. Il y eut à ce moment là un arrêt sur image. Flo qui avait fini de besogner Emi, nous dévisageait ! Surpris, une étincelle de colère et à la fois d’excitation se mélangeait dans son regard. Ses yeux ne se détachaient de mes seins que pour observer les va et vient dans ma bouche pour finir par se poser sur mon cul, ma chatte et la bite qui m’enfilait. C’est à ce moment que Michael jouit ! Un filet blanc dégoulina de ma chatte pleine le long de ma cuisse. Flo se détourna et porta Emi dans leur chambre. J’eus un moment d’inquiétude, craignant de l’avoir dégoûté. Puis, je me dis que cela n’était pas plus mal si j’avais réussi à détruire cette attirance interdite. Seb ne perdit pas de temps pour prendre la place de Michael et me piner à son tour. Tant mieux je n’avais pas encore joui.

Seb dit :

Petite salope, tu es trop bonne. Ta chatte est pleine de foutre, c’est trop bon, ça glisse tout seul.

Ces paroles m’achevèrent et je jouis dans un cri.

Plus tard dans mon lit. Je me demandais si tout cela n’avait pas été trop loin et comment nous allions réagir le lendemain. L’expérience avait été délicieuse mais j’avais vu ma meilleure amie se faire baiser devant moi, j’avais vu le mec de mes fantasmes à poil et lui m’avait vu me faire prendre par deux mecs. Dieu merci, Emi devait être beaucoup trop défoncée et occupée de son côté pour avoir suivi la scène. Ouh la la. C’était du grand n’importe quoi. Ne trouvant pas le sommeil, je décidais d’aller dans la cuisine boire un peu d’eau. J’étais penchée dans le frigo quand j’entendis quelqu’un toussoter.

Je me retournais et me trouvais nez à nez avec Florent, magnifique et simplement vêtu d’un boxer blanc.

Salut… tu dors pas? Je t’ai entendue sortir de ta chambre…

Non, je suis venue boire un peu d’eau

Ah oui tes ébats ont dû te fatiguer… Tu as eu l’air de bien t’éclater ce soir…

Autant que toi je suppose…

Ouais… on est allés un peu loin je trouve… Je n’aurais pas dû céder à Emi… Elle était trop défoncée…

Les regrets ne servent à rien.

Tu as raison… Mais… je regrette quand même de ne pas avoir été à la place de mes potes ce soir… Tu t’es bien débrouillée… Je voulais te présenter un pote. Tu t’en es fait deux.

Quoi tu vas me faire des reproches maintenant? Me traiter de salope peut-être?

Non… mais bon, je ne pensais pas que tu étais de ce genre là.

Moi non plus je ne le pensais pas… Mais c’est arrivé. J’assume et je ne regrette rien.

C’est bizarre. Ca m’a troublé. J’étais à la fois totalement excité. Si Emi n’avait pas été là, je les aurais dégagé et euh… je t’aurais… Et en même temps, je sais pas, ça m’a déçu, de te voir comme ça avec deux hommes…

Elle rime à quoi cette discussion??? Je ne te dois aucun compte et tu sors avec ma meilleure amie je te rappelle !

Je sais Joanna… Mais, je sais pas, c’est bizarre, j’ai tout le temps envie de toi. Tu me plais trop. J’ai voulu te présenter mon pote pour te caser et éloigner la tentation mais quand je t’ai vue tout à l’heure, j’ai failli les buter…

Je remarquais à ce moment son sexe bien bandé et bien visible dans son boxer blanc laissant même apparaître le contour du gland. Je fis un effort pour détourner mon regard et garder le contrôle. Il avait vu mon regard s’attarder sur sa bite et c’était lui maintenant qui s’attardait sur mes seins largement découverts par ma petite nuisette en dentelle. Il ramassa mes cheveux en queue de cheval et tira dessus pour soulever mon visage. Il m’embrassa doucement d’abord puis avec vigueur. Il titilla ma langue avec le bout de la sienne et je sentais mon entrejambe mouiller abondamment. Je fis un geste pour m’écarter avant de perdre définitivement tout contrôle. Il me plaqua immédiatement contre lui.

J’ai trop envie de toi Joanna. Depuis trop longtemps. Reste…

Il ne me laissa pas le loisir de répondre car ses doigts était déjà entrain d’écarter mes lèvres mouillées pour s’immiscer profondément en moi. Je ne portais pas de string sous ma nuisette et sa main avait vite trouvé le chemin. Il inséra ses deux doigts et les ressortis pour les inspecter. Un épais voile blanchâtre et épais l’assura de mon haut degré d’excitation. Il présenta ses doigts à ma bouche et je suçais ma propre mouille, complètement excitée. Il prit dans sa bouche mes tétons qui avaient durcis pendant que j’empoignais son sexe gonflé pour le branler. C’était divin. Sans crier gare, il m’allongea sur le sol avec lui. Je l’embrassai avec une avidité exacerbée par tous ces mois de fantasme. Le bout de nos langues se titillèrent, il me mordilla la lèvre inférieure et puis je ne sais comment, je me retrouvai avec son visage entre mes cuisses et sa bite dans ma bouche. Je sentais sa langue me lécher pendant qu’il enfonçait profondément sa queue dans ma gorge. Il aspirait mes lèvres, excitait mon clitoris pendant que je le pompais avec vigueur. Je le suçais avec gourmandise, tantôt lapant du bout de la langue son gland, tantôt aspirant ses couilles dans ma bouche. Il gémit et incapable de se contenir plus longtemps déchargea dans ma gorge un épais jet de sperme chaud. Prise au dépourvu, je n’eus pas le temps de me dégager et découvris avec surprise que j’appréciais son goût.

Croyant la baise terminée, je me relevais et lui aussi. Il attrapa une serviette en papier pour essuyer le liquide blanchâtre que j’avais encore sur le coin des lèvres et le dirigea vers mon décolleté. Son sperme avait giclé et dégouliné sur ma poitrine aussi. A la vue du liquide poisseux sur mes seins, il reprit immédiatement de la vigueur et je me retrouvais pour la seconde fois de la soirée, les seins plaqués sur la table et les reins offerts comme une chienne. Il ramassa une seconde fois mes cheveux en queue de cheval et m’empoigna sans retenue. Sa bite se fraya un chemin facile dans ma chatte largement ouverte et humide. Sans me ménager, il se mit à me mettre de grands coups. Il me tirait les cheveux sans ménagement maintenant, mon buste était littéralement écrasé sur la table et toute la pièce raisonnait du claquement de son bassin sur mon cul. Je n’avais pas mal, oh non! En tout cas je ne sentais pas la douleur tellement la vague de plaisir était puissante. Je me mis à gémir bruyamment et Florent me baillonna de sa main libre. J’allais réveiller toute la maison. Je compris le message et étouffa mon excitation. Flo lâcha mes cheveux et je pus redresser un peu mon buste. Soudain, je sentis ses mains écarter mes fesses et son doigt jouer sur mon anus. Il humecta son index et commença à titiller mon trou étroit tout en continuant à me donner des coups de butoirs. Je me contractais car je n’avais jamais été fan de sodomie. Il le sentit et se pencha à mon oreille pour me rassurer :

Ne t’en fais pas, tu vas aimer, je te le promets

Non j’ai déjà essayé, ça fait mal, je suis pas fan

Joanna tu vas aimer crois moi…

Je n’eus pas le temps de protester car il avait déjà inséré son doigt dans mon cul. Je fus surprise d’apprécier d’être prise des deux côtés. De me sentir pleine. Décidément cette soirée était pleine de surprises. Profitant de me sentir détendue, il accéléra le mouvement dans mon cul et bientôt un deuxième doigt vint rejoindre l’autre. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il estima mon cul suffisamment dilaté pour recevoir son gros engin et je fis l’effort de bien l’accueillir. Il commença à me pénétrer avec délicatesse, prêt à faire marche arrière à la moindre résistance. Ce n’étais pas désagréable, je n’avais pas encore dé-saouler et ma petite partie de jambe en l’air à trois qui avait eu lieu plus tôt dans la soirée avait sérieusement fait fondre mes inhibitions. Et c’est ainsi que détendue et le cul bien dilaté, Flo put s’en donner à cur joie dans mon couloir étroit. Il reprit son ramonage intensif, j’en profitais pour me frotter le clito avec mon doigt, c’était divin. Il éjacula dans un râle sourd pendant que j’étouffais un cri de jouissance. Il se retira laissant s’échapper de mon anus béant un filet épais de son sperme délicieux.

Nous reprîmes notre souffle tous les deux haletants. Il me prit dans ses bras et déposa plein de baisers dans le creux de mon cou. Un petit bruit attira notre attention et nous découvrîmes mortifiés que nous avions un spectateur. Michael se tenait dans l’embrasure de la porte, un grand sourire aux lèvres et un air gourmand

Eh ben! Il lui en faut des bites à la p’tite pour être satisfaite! Tu m’avais pas dit que c’était une vraie chaudasse Florent! Appelle moi, Joanna si jamais t’es en manque cette nuit!

Qu’est-ce que tu fous là rugit Florent ?

Ben vous faisiez un boucan à réveiller un mort et je suis venu voir ce qui se passait ! Et toi qu’est ce que tu fous là  mec? Tu devrais pas être au pieu avec ta copine?

Ecoute Michael, garde tout ça pour toi s’il te plait. Je te revaudrai ça.

Nous partîmes tous nous coucher avec la promesse de Michael de garder le silence sur l’incident.

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