Après le dîner, j’étais de plus en plus excitée à l’idée de me faire ENFIN prendre par un chien, bien qu’il soit de petite taille. Avec Cédric, il avait été décidé dès le départ qu’il participerait activement et m’initierait au mieux, pour que je puisse retirer un maximum de jouissance de mon accouplement avec son chien. Je voulais être la chienne du maître et de Gypsis.
Gypsis se reposant encore un peu, Cédric et moi nous commencames seuls. J’adorais son sexe, très long et épais, (25 cm environ). Je voulais qu’il me pénètre directement, qu’il me sodomise sans préparation, d’un coup, je voulais avoir mal. Je me mis à quatre pattes, devant le canapé du salon, Cédric, tout excité à l’idée de me défoncer l’anus, était très raide. Il humecta juste très légèrement mon anus, posa son gland sur mon anus et força d’un coup. Je criai, j’avais mal, cela me brûla, mais c’était tellement bon !!!!!!!!
Il rentra le reste de son sexe brutalement, s’arrêta, puis se déchaîna sur mon anus, j’hurlais de douleur d’abord, puis de plaisir. Gypsis, se réveilla et vint nous voir, son sexe était sorti de son fourreau à nouveau. Il voulut me sauter dessus, mais son maître occupait toujours la place dans mon anus. Alors Cédric se retira, et enfin mon fantasme se réalisa.
Cédric dirigea le sexe de son chien qui avait continué de grossir vers mon anus très endolori par ma sodomie humaine précédente. Il me demanda si je voulais rester "bloquée", j’étais tellement excitée que j’acceptai, quitte à le regretter ensuite. Le chien trouva mon orifice anal dilaté et m’encula d’un coup sec, comme son maître précédemment.
La sensation fut différente, son sexe était moins gros, du moins pour l’instant. Je sentis les coups de boutoir dans mon anus s’intensifiaient de plus en plus et le sexe de Gypsis grossir au fur et à mesure, son liquide coulait. Sans que je le réalise, tellement je criais de jouissance cette fois-çi, Cédric s’était installé assis sur le canapé et me demanda de la sucer pendant que son chien me sodomisait vigoureusement et rapidement. Je pris le gros sexe de Cédric en bouche, tout en continuant de crier de plaisir en le suçant. Puis j’eus l’impression que mon anus allait exploser, je pris peur, et tenta de hurler, mais Cédric prit par l’excitation générale, en profita pour m’enfoncer sa queue tout au fond de ma gorge et se servit de ma tête pour baiser ma bouche profondément et ardemment.
Pendant que Cédric continuait de baiser ma bouche, je sentis que le chien était en train de jouir dans mon anus, j’étais trop excitée, étouffée par la queue du maître et enculée à fond par son chien. Cédric qui était sur le point d’éjaculer, et moi-même, nous en avions oublié la précaution ultime concernant le noeud de Gypsis, j’étais bloquée, mais je ne m’en souciais plus. Cédric était en train d’inonder ma gorge et ma bouche de son sperme très abondant et épais. J’attendis que le sexe de Cédric se dégonfla dans ma bouche pour avaler son sperme. Fort heureusement Gypsis qui avait été très bien dressé à monter des femmes, hommes et au triolisme, resta sagement en place, pendant que le noeud se dégonflait. Puis au bout de 10 minutes environ, il se libéra tout seul. Son sperme coulait le long de mes cuisses, il lécha ma chatte de sa langue râpeuse, cela me rappela des souvenirs d’ado avec le teckel.
J’étais crevée, j’avais énormément joui, mais cela ne me suffisait pas encore, j’en voulais plus, toujours plus, je voulais être prise par Cédric et Gypsis en même temps. Et j’avais également une autre idée derrière la tête.
Il faisait nuit, mes deux partenaires canin et humain étaient très fatigués aussi. Donc nous allâmes nous coucher. Je m’endormis en continuant de mouiller, et en faisant des rêves érotiques de baises extrêmes.
Demain sera la journée d’extrêmes jouissances.
Suite dans l’épisode 3.
Fantasmant vôtre.
